Le probable marchandage islamo-Sarko : interdire la burqa, mais financer les mosquées

Nous devrions nous réjouir. Le régime islamo-fasciste des ayatollahs vacille sur ses bases. Quel camouflet pour le journaliste Alain Gresh, pour Le Pen, Dieudonné, les islamogauchistes et tous les collabos du fascisme islamique ! En France, le député communiste André Gérin (voir ci-dessous) lance une initiative, avec une soixantaine de parlementaires, visant à interdire la burqa. Riposte Laïque, avec Regards de Femmes (1), avaient impulsé une pétition, signée par le député communiste de Vénissieux, et d’autres parlementaires, demandant cette interdiction, ainsi que celle du voile pour les mineures et à l’université. Nous avions soutenu l’initiative de Jacques Myard, allant dans le même sens. Nous avons déjà interviewé ces deux vrais laïques, symboles du combat des républicains des deux rives (2). Nous devrions donc nous féliciter qu’enfin, le mur du silence se fissure, et qu’un député de gauche soit à l’initiative d’une telle démarche, même si la majorité des signataires sont à l’UMP.
Mais nous avons encore à l’esprit l’agression subie par une de nos proches, sur son lieu de travail, pour cause de ses écrits dans notre journal, comme l’explique Christine Tasin dans cette vidéo. (3) Nous savons notre amie forte, et nous reviendrons plus largement sur ce fait gravissime, lors de notre numéro de mardi.

Nous nous félicitons donc de l’initiative d’André Gérin, mais nous ne sommes pas rassurés. Le président de la République n’est pas un laïque, c’est Nicolas Sarkozy. Nous n’avons pas oublié, récemment, son soutien spectaculaire aux propos honteux d’Obama, visant la France, sur le voile. Nous avons en mémoire ses amalgames entre l’islamophobie et l’antisémitisme, dans la logique de Durban 2 (4). Nous n’avons pas oublié le ministre de l’Intérieur qui a mis sur pied la commission Machelon, pas davantage que les propos du président de la République à Latran, à Ryad ou devant les Crif, défendant sa conception de laïcité positive.
Nous savons que les Eglises veulent en finir avec la loi de 1905, et notamment son article 2, interdisant le financement cultuel. Aubaine pour Sarkozy, c’est un député de gauche, Manuel Valls, qui va dans son sens, et réclame la possibilité, pour l’Etat, de subventionner les mosquées (5).
Il nous bien analyser le danger. Certes, il convient de se réjouir de l’initiative de l’exemplaire André Gérin, et de féliciter les autres députés qui ont signé son texte. Il était grand temps que les parlementaires prennent leurs responsabilités. Il est temps qu’en France disparaisse définitivement cette tenue qui, outre le fait qu’elle empêche l’identification de la personne qui la porte, est une véritable insulte à la condition des femmes.
Mais gare aux marchandages de Sarkozy, qui sait être un véritable marchand de tapis. Nous pensons que, habile politique, il peut faire un numéro de claquettes où il sera brillant, pour clamer que, dans son pays, celui de Simone de Beauvoir, une telle tenue est impossible, et rappeler qu’il l’avait affirmé lors de sa campagne présidentielle. Mais parallèlement, nous ne serions pas surpris de l’entendre parler de la deuxième religion de France, la nébuleuse islam de France, qui doit avoir la reconnaissance qu’elle mérite.
Cela serait du Sarko tout craché, un coup à gauche, un coup à droite. Donc, il pourrait prendre au bond la proposition de Manuel Valls – comme l’UMP a utilisé celle de Charasse, pour mettre en place la loi Carle, imposant aux communes de financer les écoles privées voisines) – et autoriser le financement des mosquées, pour lever une hypocrisie (Le Figaro avait révélé qu’elles sont financées, en toute illégalité, à 30 % par de l’argent public). Le président de la République pourrait aussi reprendre une autre proposition socialiste, celle d’intégrer la religion musulmane au concordat d’Alsace-Moselle, qui aujourd’hui bénéficie aux seules religions catholique, protestante et juive. Et pourquoi ne pas leur accorder la viande hallal à l’école, comme le réclame l’inimitable Aounit ? N’oublions pas que Sarkozy a combattu la loi du 15 mars 2004, et qu’il ne l’a pas évoquée, dans sa réponse à Obama.
Se servir de la gauche pour mieux en finir avec la laïcité, reconnaissons que pour un président de la République qui n’a jamais caché sa volonté de toiletter la loi de 1905, cela aurait quelque chose de jouissif.
Qui protesterait à gauche ? Martine Aubry et ses piscines communautaristes ? Marie-George Buffet et sa laïcité ouverte ? Dany Cohn Bendit et sa défense des talibanes sœurs Levy, à Aubervilliers, en 2003 ? Besancenot, ami du Hamas et du Hezbollah ?
Il n’en demeure pas moins que la commission mise en place par André Gérin peut être une aubaine, si, dans la foulée des commissions Stasi et Debré, en 2003, elle permet, par l’audition d’acteurs représentatifs de la société française, de prendre en compte la réalité, que dénonce Riposte Laïque depuis près de deux ans : la gravité de l’offensive islamique, dans notre pays, dans de nombreux secteurs de la société. Si les associations laïques, et quelques personnalités médiatiques, d’un silence consternant jusqu’à ce jour, se réveillaient brutalement, et soutenaient la proposition des parlementaires, nous en serions ravis. Nous préférons qu’elles prennent le train en marche, plutôt qu’elles s’enferment dans leur conception fumeuse de la rue, espace privé, qui abandonne l’espace civil à l’offensive des religieux, dont les plus véhéments sont musulmans aujourd’hui.
Le texte rédigé par André Gérin, quand on le lit bien, permet d’aller bien plus loin que la seule interdiction de la burqa. Que les parlementaires lisent attentivement cette remarquable réponse d’Ayaan Hirsi Ali, aux propos honteux d’Obama, et qu’ils regardent bien ce qui se passe dans notre pays. (6). Les multiples revendications communautaristes des plus déterminés militants de l’islam, sur notre territoire, des épisodes comme l’affaire Truchelut, et les provocations dans des auto-écoles, ou dans des salles de sports, le voile porté par des mineures de plus en plus jeunes, le voile imposé à l’université, par des accompagnatrices scolaires, les problèmes rencontrés à l’hôpital, les pressions exercées sur les élus, sur les enseignants (lire le rapport Obin, et voir l’histoire survenue à une rédactrice de RL), les menaces à l’émeute, les prières qui se multiplient sur les trottoirs, pour obtenir des mosquées, la multiplication d’enclaves musulmanes, la volonté d’y imposer la charia, etc. sont autant de témoignages que les parlementaires de notre pays ont besoin d’entendre. Ils doivent enfin prendre la mesure de la gravité de la situation, et légiférer comme il le convient. Qu’ils ne tombent surtout pas dans le piège du voile acceptable, et de la burka intolérable, qu’ils écoutent, sur ce sujet, Fadela Amara. Ils doivent comprendre que nous sommes devant un problème de civilisation, et qu’ils doivent défendre les Lumières contre l’obscurantisme, la République contre la charia, la liberté d’expression contre la censure religieuse, la laïcité contre le cléricalisme.

Ce n’est pas la simple interdiction de la burqa – ô combien nécessaire – qui pourra répondre au défi posé à notre pays par une véritable cinquième colonne qui rêve d’y imposer l’islam, et donc la charia, trop souvent soutenue par des forces de gauche et d’extrême gauche. Rappelons que les premières victimes de de ces fanatiques religieux sont les citoyens de culture arabo-musulamne, et encore davantage les femmes, qui ont besoin de la laïcité et de la République pour échapper aux petits soldats de l’islam.
Riposte Laïque titrait, dans son édito, qu’il espérait contribuer au réveil du peuple français. Nous allons tout faire pour cela. Annie Sugier, présidente de la Ligue du Droit International des Femmes, a réagi immédiatement par ce communiqué (7), tandis que notre ami Pascal Hilout est invité, ce jeudi soir, spécialement, sur le thème de la burqa, par France 24, en langue arabe, tandis que Pierre Cassen, ce samedi 20 juin, à Belley, évoquera forcément cette question, lors de la conférence qu’il animera, autour du livre « Les dessous du voile ».
Comme ils l’ont fait lors de la loi du 15 mars 2004, les animateurs de Riposte Laïque mettront toutes leurs forces pour que l’initiative d’André Gérin aboutisse à une prise de conscience de la reconquête républicaine et laïque dont notre pays a besoin… tout en empêchant Sarkozy de brader notre modèle laïque pour acheter la paix sociale avec les islamistes.
Cyrano
(1) http://www.halteauvoile.fr/
(2) http://www.ripostelaique.com/Andre-Gerin-depute-maire-PCF-de.html
http://www.ripostelaique.com/Jacques-Myard-il-faut-legiferer.html
(3) [http://www.youtube.com/watch?v=aN1oAt2gj-Y->http://www.youtube.com/watch?v=aN1oAt2gj-Y]
(4) http://www.ripostelaique.com/Antisemitisme-et-islamophobie-le.html
(5) [http://www.liberation.fr/politiques/0101463215-valls-ps-pour-un-financement-public-des-mosquees->http://www.liberation.fr/politiques/0101463215-valls-ps-pour-un-financement-public-des-mosquees]
(6) [http://www.drzz.info/article-32760453.html->http://www.drzz.info/article-32760453.html
(7) [http://www.ldif.asso.fr/index.php?theme=laicite&n=113->http://www.ldif.asso.fr/index.php?theme=laicite&n=113 ]

PROPOSITION DE RESOLUTION DE ANDRE GERIN

Texte de la proposition de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête sur la pratique du port de la burqa ou du niqab sur le territoire national.
Il s’agit incontestablement d’un événement politique puisque ce texte rassemble une grande diversité de députés.
Il a été signé par 58 parlementaires représentant toutes les composantes de l’Assemblée nationale :
– 3 communistes et parti de gauche,
– 7 socialistes,
– 43 UMP
– 2 nouveau centre
– 3 non inscrits

PROPOSITION DE RESOLUTION

Tendant à la création d’une commission d’enquête
sur la pratique du port de la burqa ou du niqab sur le territoire national
Présentée par
Mesdames et Messieurs
André GERIN, Yves ALBARELLO, Brigitte BAREGES, Christian BATAILLE, Patrick BEAUDOIN, Jean-Claude BEAULIEU, Jacques-Alain BENISTI, Véronique BESSE, Gabriel BIANCHERI, Jean-Marie BINETRUY, Jean-Claude BOUCHET, Gilles BOURDOULEIX, Loïc BOUVARD, Michel BOUVARD, Françoise BRANGET, Xavier BRETON, Dominique CAILLAUD, Jean-Jacques CANDELIER, Bernard CARAYON, Patrice DEBRAY, Jean-Pierre DECOOL, Jacques DESALANGRE, Nicolas DUPONT-AIGNAN, Alain FERRY, Pierre FORGUES, Jean-Louis GAGNAIRE, Sauveur GANDOLFI-SCHEIT, Jean-Paul GARRAUD, Georges GINESTA, Françoise GUEGOT, Christophe GUILLOTEAU, Michel HEINDRICH, Michel HERBILLON, Jacqueline IRIES, Denis JACQUAT, Maryse JOISSAINS-MASINI, Jean-Pierre KUCHEIDA, Patrick LABAUNE, Jacques LAMBLIN, Thierry LAZARD, Pierre LELLOUCHE, Michel LEFAIT, Maurice LEROY, Lionel LUCA, Jeanny MARC, Jean-Pierre MARCON, Thierry MARIANI, Pierre MORANGE, Jacques MYARD, Nicolas PERRUCHOT, Bérangère POLETTI, Jacques REMILLER,
Bernard REYNES, Chantal ROBIN-RODRIGO, Valérie ROSSO-DEBORD, Odile SAUGUES, Dominique SOUCHET, Michel TERROT
députés
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
La déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 stipule : ‘’nul ne doit être inquiété pour ses opinions même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi’’.
Ainsi est né le principe de laïcité constitutif de notre organisation sociale et de notre histoire collective.
La loi du 9 décembre 1905, qui sépare les églises et l’Etat, l’enracine dans nos institutions. Le libre exercice des cultes y est garanti mais la dissociation de la citoyenneté et de l’appartenance religieuse y est affirmé. Aucune religion ne saurait imposer ses principes comme normes d’organisation de la société.
Depuis la Constitution de 1946, le principe de laïcité a acquis une valeur constitutionnelle.
L’article 1er de la Constitution de la Vème République l’a repris et précise :
« La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances.
Ce cadre laïque offre la possibilité et les moyens de coexister sur un même territoire à des hommes et des femmes qui ne partagent pas les mêmes convictions, plutôt que de les enfermer en une mosaïque de communautés repliées sur elles-mêmes et s’excluant mutuellement.
En ce sens, la laïcité est le vecteur de l’intégration de tous dans la société. Elle crée l’équilibre entre la reconnaissance du droit à une identité propre, le respect des convictions individuelles et le lien social.
En articulant unité nationale, neutralité de la République et reconnaissance de la diversité, la laïcité fonde, au-delà les communautés traditionnelles de chacun, une communauté de destin appuyé sur des valeurs communes, une volonté et un désir de vivre ensemble.
Cela implique de la République et des citoyens des droits et des devoirs.
Quand la laïcité est menacée, la société française l’est dans son unité, dans sa capacité à offrir un destin commun.
Au fil de l’histoire, des lois ont marqué l’affirmation juridique du principe de laïcité. Certaines ont été nécessaires quand il s’est trouvé en danger. Il nous faut, en la matière, faire preuve de lucidité.
Il en a ainsi été de la loi n° 2004-228 du 15 mars 2004 interdisant le port de signes ou tenues pour lesquels des élèves manifestaient ostensiblement leur appartenance religieuse au sein d’un établissement scolaire.
Elle s’inscrivait dans le prolongement du rapport et des recommandations de la commission de réflexion, dite ‘’Commission Stasi’’ sur l’application de principe de laïcité, remis au Président de la République, Jacques Chirac, le 11 décembre 2003.
Nous sommes aujourd’hui confrontés, dans les quartiers de nos villes, au port par certaines femmes musulmanes de la burqa, voilant et enfermant intégralement le corps et la tête dans de véritables prisons ambulantes ou du niqab qui ne laisse apparaître que les yeux.
Si le foulard islamique constituait un signe distinctif d’appartenance à une religion, nous sommes là au stade extrême de cette pratique.
Il ne s’agit plus seulement d’une manifestation religieuse ostentatoire mais d’une atteinte à la dignité de la femme et à l’affirmation de la féminité.
Vêtue de la burqa ou du niqab, elle est en situation de réclusion, d’exclusion et d’humiliation insupportable. Son existence même est niée.
La vision de ces femmes emprisonnées nous est déjà intolérable lorsqu’elle nous vient d’Iran, d’Afghanistan, d’Arabie Saoudite ou de certains autres pays arabes. Elle est totalement inacceptable sur le sol de la République française.
Nous savons, en outre, qu’à cette tenue vestimentaire dégradante s’ajoute une soumission à son époux, aux hommes de sa famille, une négation de sa citoyenneté.
Il faut se rappeler les professions de foi de l’imam Bouziane, en avril 2004, en faveur des châtiments corporels pour les épouses adultères, sur fond de diatribe idéo
anti-occident, d’un racisme anti-blanc, anti-France.
Le Conseil d’Etat, dans un arrêt du 27 juin 2008, a eu à statuer sur le cas d’une personne de nationalité étrangère, à qui le gouvernement avait opposé son refus d’acquisition de la nationalité française par mariage (articles 21-2 et 21-4 au Code civil). Il a considéré que l’intéressée avait adopté « au nom d’une pratique radicale de sa religion ; un comportement en société incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française et notamment avec le principe d’égalité des sexes ».
Le Conseil d’Etat a conclu que la requérante ne remplissait pas la condition d’assimilation posée par le Code civil.
La commissaire du gouvernement avait, en effet, relevé qu’elle portait le voile islamique intégral et vivait recluse soumise totalement aux volontés des hommes de sa famille.
Par ailleurs, la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (HALDE) a eu à se prononcer sur le cas d’une autre femme musulmane revêtue de la burqa lors d’une formation linguistique dispensée par l’agence nationale d’accueil des étrangers et des migrations (ANAEM) dans le cadre d’un contrat d’accueil et d’intégration.
Le directeur de l’ANAEM a interrogé la HALDE sur le point de savoir si l’obligation faite aux personnes suivant cette formation de retirer la burqa ou le niqab était conforme aux exigences des articles 9 et 14 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales.
Par une délibération du 15 septembre 2008, la HALDE a décidé qu’une telle obligation était conforme à la dite convention.
Elle aboutit ainsi aux conclusions suivantes :
– la burqa comporte une signification de soumission de la femme qui dépasse sa portée religieuse et pourrait être considérée comme ‘’portant atteinte aux valeurs républicaines présidant à la démarche d’intégration et d’organisation de ces enseignements, obligatoires pour les étrangers admis pour la première fois en France,
– l’obligation de retirer le niqab ou la burqa pourrait être justifiée par des buts légitimes qui sont les exigences de la sécurité publique, d’identification des personnes ou encore la protection des droits et liberté d’autrui.
Ces jurisprudences sont utiles mais ne sauraient suffire à faire face à ces pratiques que nous ne pouvons tolérer en France.
C’est pourquoi il est proposé que l’Assemblée nationale se saisisse de ce dossier et que soit créée une commission d’enquête.
Elle s’inscrira dans la poursuite du travail de la ‘’Commission Stasi’’, qui, déjà en 2003, relevait les menaces qui pesaient sur les libertés individuelles et la grave régression de la situation des jeunes femmes.
Celle-ci aura pour mission de dresser un état des lieux et de définir des préconisations afin de mettre un terme à cette dérive communautariste contraire à nos principes de laïcité, à nos valeurs de liberté, d’égalité, de dignité humaine.
Sous le bénéfice de ces observations, Mesdames, Messieurs, il vous est demandé de bien vouloir adopter l’article unique de cette proposition de résolution.
Proposition de résolution
Article unique
Il est créé une commission d’enquête parlementaire de trente membres afin de dresser un état des lieux de la pratique du port de la burqa ou du niqab par certaines femmes musulmanes, de mieux comprendre le phénomène et de définir des propositions afin de lutter contre ces méthodes qui constituent une atteinte aux libertés individuelles sur le territoire national.
Elle doit rendre son rapport le 30 novembre au plus tard.
Téléchargement de pièces jointes :
[00001.1832.prop_resolution_burqa.pdf source->00001.1832.prop_resolution_burqa.pdf source ]
[http://www.andregerin.com/index02.html->http://www.andregerin.com/index02.html ]