Grâce à vous, je ne me sens plus tout seul

Mesdames, Messieur,
Vous n’imaginez pas le bonheur inouï que j’ai eu de vous découvrir. Je ne pensais pas que des gens aussi courageux existaient encore, chez nous. Je ne pensais pas que des français avaient encore ce sentiment national et patriotique qui m’anime chaque instant. Je pensais être bien seul dans mon désespoir de voir la France se noyer et disparaître, arc-boutée et pliée sous les coups de boutoirs des ennemis de la démocratie et des valeurs occidentales. Je ne pensais pas qu’il y eût encore, en France, des gens qui « en avaient » encore et osaient s’opposer à l’omerta et à l’interdiction de s’exprimer autrement qu’en étant un écho de la vulgate socialo-islamiste qui interdit toute personne d’avoir une voix discordante, au risque d’être taxé de « raciste » ou de « fasciste ». Je ne pensais pas que 30 ans de lavage de cerveau n’avaient su avoir raison de l’esprit critique français, moi qui désespérais de trouver des gens qui ressentaient la terreur qui me tenaillait en pensant à l’avenir de notre pays, soumis à la charia et aux forces de l’obscurantisme. Je ne pensais pas, en bref, être moi-même être quelqu’un de normal ; j’avais, en effet, peur de n’être qu’un « salaud » comme les bobos aiment à les caricaturer, et d’être devenu un extrémiste de l’autre bord. Je ne voulais pourtant pas ressembler ou tenir le même discours que les admirateurs du Front national qui, bien que j’en partage certaines idées, deviennent immédiatement infréquentables par leurs discours inouïs sur les Juifs ou un imaginaire « complot américano-sioniste »… Ou du discours ambigu de leur chef qui, d’un côté, prétend défendre les valeurs de la France pour, un autre jour, proclamer haut et fort son soutien au régime des mollahs iraniens et souhaiter qu’ils obtiennent « leur » bombe, ou encore son amitié au Hezbollah.
Je ne voyais, en clair, aucune issue car, d’un côté, la passivité, la veulerie, la bêtise et l’aveuglement le plus total non seulement des hommes politiques – les véritables coupables et responsables de la situation dans laquelle la France a sombrée – que des français, nos compatriotes, qui nous entourent, victimes du terrorisme intellectuel de la pensée unique passée par le filtre censeur des associations antiracistes, seules à même de définir de façon toujours unilatérale ce qui peut de ce qui ne doit pas être dit.
Eh bien, je suis en train de vous découvrir. Je ne dis pas je vous « ai découvert » car je n’ai parcouru jusqu’à présent que trois de vos articles, après avoir en avoir lu un autre de l’excellent blog d’Ivan Rioufol qui faisait référence à vous et à votre action sur la place de l’Etoile.
Je vais devenir, à partir de maintenant, un de vos lecteurs attentifs, car je ne me sens désormais plus seul. Il nous faut travailler tous ensemble et fédérer les patriotes qui existent encore dans ce pays, afin de nous opposer à un modèle de société en opposition totale avec notre société. Pour éviter que la France et toute l’Europe ne tombent aux mains d’ennemis qui ne souhaitent que notre destruction, et se donnent beaucoup de mal pour y parvenir.
En un mot, je vous remercie, mes chers compatriotes. Les grandes révolutions ont été menées par des minorités – car les résistants tels que vous sont une minorité en France, la majorité étant déjà terrorisée, ci n’est dhimmisée – et ont fini par tout renverser. Nous pourrons tous ensemble changer les choses, j’en suis persuadé. Il suffit de prêter l’oreille pour entendre un grondement dans les rangs des français, que nous, les patriotes, pouvons exploiter pour en faire un rugissement qui s’entendra jusque dans les arcanes du pouvoir qui devra bien, à un moment donné, accéder à ses requêtes.
Mais que le chemin est long, et que la tâche sera dure. C’est sans doute ce qui en fait sa noblesse. C’est également, surtout, une question de survie. Quand un peuple sent sa fin proche, et la destruction le menacer, cela ne trompe pas. L’important est que certains en soient conscients et soient déterminés à changer les choses. Dans le passé, les français, même divisés, sont parvenus à se solidariser pour renverser la tendance et chasser l’ennemi. Nous devrons le faire, une nouvelle fois.
Encore merci, merci, merci, et vive la France !
Anonyme, 23 ans.