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Chers amis,
Il est des moments dans la vie des peuples où ce que l’on croyait assoupi d’un sommeil de mort, s’éveille et ce que l’on croyait inconciliable se découvre puis s’allie, un moment où la donne change, où les lignes bougent, où l’espoir que tout soit possible à condition de le vouloir apparaît comme une évidence. Il en est ainsi aujourd’hui de nos peuples d’Europe et cette journée en est une éclatante manifestation.
En effet, se retrouvent ici tous ceux que l’on aurait pu croire irrémédiablement retranchés dans des camps à jamais antagonistes. Des gens dits de gauche et des gens dits de droite, mais aussi des gens qui ne croient ni à la droite ni à la gauche, des militants laïcs et des croyants chrétiens, des républicains mais aussi des déçus de la république, et même d’aucuns qui pensent que la république porte la responsabilité de la situation présente.
Naguère encore, tout les opposait et certains se livraient une guerre sans merci, remontant parfois à plus d’un siècle. Aujourd’hui, ils acceptent de mettre de côté leurs divergences – parfois profondes -, et ils se retrouvent sur le point névralgique, celui de la vie ou de la mort, celui qui forme à la fois et une frontière et une ligne de front : l’Islamisation. L’islamisation de notre continent. La situation est simple comme toujours aux grandes heures de l’histoire. D’un côté, la liberté de l’Europe, de l’autre, la volonté de conquête et de domination.
Au premier regard, on pourrait croire que cette réconciliation en vue d’un commun combat se bâtit uniquement sur un refus, sur un réflexe épidermique. Il s’agirait là d’une analyse superficielle. L’Islam, par son irruption rapide, brutale, générale, sur toute l’Europe, agit comme un révélateur. Il nous renvoie à notre identité, nous enseigne que ce que nous pensions nous opposer, ne sont que des composantes, que des facettes, d’un même objet historique. Le nôtre. L’Europe. Notre civilisation.
Pour reprendre le titre de l’ouvrage du grand essayiste Dominique Venner, les peuples européens possèdent 35 000 ans d’histoire. Le christianisme a, lui, vingt siècles d’Europe derrière lui. La Renaissance cinq siècles, les Lumières deux. Cet ensemble d’idées, de croyances, que l’on peut opposer, qui a pu et qui peut encore créer des tensions parmi les peuples d’Europe se fondent, s’effacent, devant l’arrivée d’un corps étranger à notre histoire, à nos mœurs et notre culture politique.
Etranger à l’histoire ? Pas tout à fait… A plusieurs reprises, sans que l’on ne l’ait invité, l’Islam nous a rendu visite. Parfois de longues visites comme en Espagne, avant qu’on ne les raccompagne fermement jusqu’à la porte de sortie. De plus brèves comme à Poitiers en 732 ou à Vienne en 1683 face aux arabes ou aux turcs. D’épisodiques mais réguliers, sur nos côtes du sud, quand les Barbaresques sont venus y piller et y capturer des esclaves.
On me concédera que cette histoire n’est commune que dans le conflit, dans la discordance, dans l’incompréhension de natures opposées et étrangères.
Etrangers aux mœurs ? Absolument. Que ce soit dans la Rome antique ou chez les celtes, la femme n’est pas cette recluse, cette esclave domestique, cette inférieure par législation divine, que l’on peut connaître en terre d’islam. La femme, chez nous, ce sont les romans de chevalerie et d’amour courtois, ce sont des héroïnes de la littérature depuis Homère et pas des concubines de harem.
Etranger à nos mœurs aussi l’idée que l’autre qui ne vous ressemble pas, qui n’a pas votre foi, est un démon, un absolu dans le mal, qu’il convient de changer ou de tuer.
L’Europe est par nature généreuse et tolérante. C’est ce qui fait la noblesse de son âme, mais qui, face à des personnalités civilisationnelles différentes, peut causer sa perte.
Quel peuple au monde supporterait ce que l’Europe accepte avec le sourire depuis trente ans ? La Chine, l’Inde ? Ne parlons même pas du Moyen-Orient ou de l’Afrique…
Etrangers à notre conception du politique, irrémédiablement. Nous séparons le religieux du commandement de la cité. L’islam fait de son dieu la source de toute loi, de tout pouvoir. L’islam est politique par sa nature et totalitaire par cette nature même. Né dans le monde clos du désert, entre chameaux, bédouins, et pillage de caravanes, il a la force du primitif, il allie le masochisme de la soumission intégrale, de la prosternation totale du corps et de l’âme, au droit au sadisme envers ceux qui ne se soumettent pas.
Voila donc, ce qui nous rassemble. Et voila donc où nous en sommes. En trente ans, l’islam a pénétré en Europe.
Comment cela a-t-il été possible ?
A cause d’un mouvement de fond des populations, d’un mouvement unique dans l’histoire du monde, que l’on appelle du mot aimable «d’immigration ».
Une immigration d’abord présentée comme celle du travail. Puis celle de la repentance que soit disant nous devrions à nos anciens colonisés.
Enfin et surtout, cela a été possible parce que nos anticorps identitaires ont été neutralisés par une propagande incessante et qui ne cesse de s’amplifier, de même qu’un médecin prescrit des antibiotiques de plus en plus puissants, au fur et à mesure que les précédents ne fonctionnent plus. Cette propagande, nous la connaissons tous, à travers ses slogans. L’expression « citoyen du monde » qui va si bien à la finance internationale. La « diversité » qui, en fait, veut dire la submersion.
Pour s’opposer à l’islamisation, il faudra donc réactiver nos anticorps identitaires. On ne fera pas reculer l’islam avec les slogans du libre-échange, la philosophie de la finance spéculative. Eux, ceux qui nous dirigent, à Paris, à Londres, à Bruxelles, à Berlin, sont des collabos de l’islam. Eux accepteraient de se faire lapider pourvu qu’ils puissent vendre des pierres. Pour repousser l’islamisation, il faudra d’abord neutraliser politiquement ces collabos.
Certes, il convient de défendre la laïcité pour empêcher toute dhimmitude des pouvoirs publics à l’égard de l’islam. Mais, selon moi, les textes de loi ainsi qu’une laïcité réaffirmée ou renforcée ne peuvent aujourd’hui constituer un rempart solide et suffisant face à l’islamisation.
Il faut aller plus loin et refuser l’islamisation au nom de notre IDENTITE profonde. Défi total, réponse totale. Confrontés à l’Autre, nous devons participer à réactiver ce Nous.
Ces anticorps identitaires, quels sont-ils ?
Tout simplement le retour au réel, la fin des utopies si chère aux Européens. Oui, les peuples existent. Oui, de même que la fleur a des racines, les cultures sont liées aux peuples. Ces peuples, ces cultures, sont indissociables d’un territoire et de ses frontières.
Les peuples européens ont les mêmes droits que les tribus d’Amazonie. Une société sans mémoire et sans racines, c’est la mort. Et c’est la porte ouverte à une religion comme l’islam qui ne connait que le face à face entre Allah et la masse indifférencié.
Etre nous-mêmes, redevenir nous-mêmes. Se mettre debout et marcher de nouveau sur les chemins de l’histoire. Admettre que les peuples qui refusent d’avoir un destin, meurent. Résister, monter que le défaitisme en politique est une sottise absolue.
Tel est l’objectif que s’est fixé il y a 7 ans le Bloc Identitaire.
Avec ses militants en France, le Bloc a lancé des premières offensives politiques et médiatiques. Nous avons mis en place plusieurs séries d’actions dont certaines ont franchi le mur du silence des médias en France. Je n’en citerai que trois.
La première a été menée à plusieurs reprises en France, en Ile-de-France, à Nice, à Bordeaux. Il s’agit de ce que l’on appelle le « réveil du muezzin ». Une équipe de militants parcourt les rues avant l’aube avec sur un véhicule un puissant haut-parleur qui fait entendre l’appel du muezzin, c’est-à-dire l’appel à la prière en arabe, comme c’est le cas dans le monde musulman. Dans le même temps, d’autres militants distribuent des tracts dans les boites-aux-lettres pour expliquer l’action aux riverains et les prévenir ce que sera leur quotidien dans une islamisée. Ils nous croient ou pas. Mais l’effet est garanti.
L’autre action a utilisé un débat d’actualité. Il y avait alors une polémique en France sur les Quick halal, ces restaurants dits rapides qui, dans les quartiers musulmans, ne vendent plus que des produits halals. A Lyon, 60 militants identitaires se sont invités dans un de ces restaurants. Dans un premier temps, une militante est venu demander un hamburger avec du bacon, du porc. Le gérant musulman a dit : pas de porc dans ce restaurant. La réponse a été simple : pas de cochons dans ce restaurant ? Alors, ce sont les cochons qui vont venir à vous. Et nos 60 militants ont investi les locaux en portant sur le visage un masque de cochon. La vidéo de cette action a été vue par 300 000 personnes sur internet – en quelques jours – et a été reprise sur plusieurs chaines de télé.
Enfin, plus récemment, suite à l’affaire du polygame musulman « Lies Hebbadj » qui a défrayé la chronique en France, les habitants de Rezé en Bretagne ont découvert, un matin, que leurs rues avaient été rebaptisées : « rue de la polygamie », « place de la chariah », « impasse des allocations abusives », « rue de la lapidation », « rue du breizhistan », « place morts aux infidèles », « place Allah hakbar » ou encore « avenue du halal impératif ».
Ces trois actions illustrent notre méthode. Sans arme, ni haine, ni violence comme l’avait écrit un Niçois célèbre. Autant que possible de l’imagination et de l’humour, afin de frapper les esprits, d’attirer l’attention, de faire réfléchir et de gagner les sympathies.
Ce travail militant et de reconquête que mènent les Identitaires rejoint celui que beaucoup d’entre vous ici mènent de leur côté. Je crois que c’est la richesse de notre mouvement de résistance à l’islamisation que cette diversité, que cette absence de monolithisme. Chacun d’entre nous occupe un secteur du front, son secteur. Nous avons des sensibilités différentes, des approches différentes, nous parlons à des publics différents et c’est ce qui nous rend chacun efficace dans notre champ d’action.
Ceci souligne toute l’importance d’une journée comme-celle ci. Car il est important d’apprendre à nous connaître, il est important de pouvoir à terme, en fonction d’objectifs précis, travailler ensemble, pour faire reculer l’offensive de l’islam et peser politiquement sur ceux qui collaborent.
Oui, ce rassemblement est historique. Il dessine les contours, encore imprécis mais en extension permanente, de la résistance française, de celle qui s’est toujours dressée en mille ans d’histoire face à tous les dangers.
Le temps n’est plus aux longues discussions et aux querelles stériles. Face à l’offensive des barbus et au travail de sape des idiots utiles de l’Islam, nous devons agir, occuper le terrain, créer des synergies, remporter des victoires.
Il en va de l’avenir de nos enfants, de nos peuples, de notre civilisation !
Confiants et déterminés, nous sommes là pour défendre nos valeurs et notre modèle civilisationnel. Nous sommes là pour gagner. Et comme à Poitiers et à Vienne, nous gagnerons !