
Cette fois, c’est officiel, les animateurs du salon du Bnai Brith nous ont confirmé, un brin gênés, qu’à la demande de Claude Goasguen, cédant piteusement aux pressions du lieutenant de Mélenchon, Alexis Corbière, Pierre Cassen et Christine Tasin ne seront pas présents au salon du livre, organisé tous les ans, à la mairie du 16e arrondissement.
Comme l’explique Christine Tasin dans ce numéro, nous ne leur en voulons pas, nous ne chercherons pas à jouer les perturbateurs, et, sans rancune, nous leur souhaitons la meilleure réussite, à eux et à tous les auteurs qui auront réussi à passer à travers les mailles des filets des commissaires politiques parisiens.
En effet, nous apprenons qu’il n’y a pas que le vaillant Alexis Corbière, surnommé Staline-Corbière par Lucette Jeanpierre, et ressemblant étrangement à Alex Corbillard dans « La faute du bobo Jocelyn » qui a officié dans cette véritable chasse aux sorcières.
Autre totalitaire de la pensée, le commissaire politique Abel Mestre, officiellement journaliste au « Monde », s’est mis de la partie. Après avoir innocemment appelé le principal organisateur, en le questionnant sur les raisons de la présence de Pierre Cassen et Christine Tasin au salon littéraire, il a décidé que l’éviction de nos deux animateurs ne lui suffisait pas. Il s’est donc mis en tête d’avoir également la tête de Louis Chagnon, cet enseignant coupable d’avoir, en classe, osé dire aux élèves quelques vérités historiques sur Mahomet, ce qui abrègera sa carrière d’enseignant. Et, cerise sur le gâteau, le voilà qui traque à présent Yvan Blot, auteur d’ouvrages sur la démocratie directe, avec des arguments dignes d’un parfait petit agent de la Guépéou ! Le prétexte évoqué : les engagements politiques passés ou présents des deux auteurs ! On rappellera en passant que le censeur s’était ridiculisé en annonçant de manière erronée la venue de Xavier Lemoine aux assises sur l’islamisation de nos pays, le 18 décembre 2010…
Mais ce n’est pas tout ! Nous avons assisté, il y a quelques jours, à un spectacle ahurissant, dans le 18e arrondissement de Paris. Des Parisiens, organisés dans une association, l’UDCC, ont commis le sacrilège de demander des comptes au maire de Paris, Bertrand Delanoé (qui ressemble étrangement à Laurent de la Noëlle dans Le bobo Jocelyn) pour le financement de l’Institut des Cultures d’Islam (ICI), et pour les problèmes de sécurité dans certains squares parisiens. Immédiatement, pour tout argumentaire, le maire de Paris a glapi, micro à la main : « Voilà l’extrême droite ! ».
Faut-il rappeler qu’hier les adorateurs de Staline qualifiaient d’extrême droite quiconque osait évoquer les goulags et les hôpitaux psychiatriques en URSS ? « Extrême droite », aujourd’hui, quel mot magique pour tous les totalitaires du politiquement correct qui trahissent sans vergogne notre peuple et son Histoire, en passant leur temps à cracher sur une France qu’ils veulent voir disparaître ! Vous organisez un apéro saucisson-pinard ? Vous voulez organiser des assises sur l’islamisation de vos pays ? Vous voulez fêter le 140e anniversaire de la IIIe République ? Vous voulez fêter le 18 juin en célébrant la chanson française ? Immédiatement, les demandes d’interdiction pleuvent, avec comme seul argument : « extrême droite » ! Le public de l’espace Charenton ne s’y était pas trompé, scandant « collabos » quand, lors d’une projection, ces nouveaux censeurs apparaissaient à l’écran.
Enfin, le comble du ridicule sera atteint sur l’affaire de l’incendie de Charlie Hebdo. Qu’ils sont grotesques, ces petits bobos parisiens Charb et Luz, en faisant des tonnes pour disculper les islamistes, et essayant de mettre en avant la piste possible de l’extrême droite. Les islamistes les ont menacés, leur ont brûlé leur journal, hacké leur site, et ils pleurnichent que ce ne sont pas des croyants et encore moins des musulmans qui ont pu faire cela ! Bien évidemment, pour donner encore davantage de gages à la bien-pensance, Charb se sent obligé de dire qu’il se passerait bien du soutien de Marine Le Pen et de Riposte Laïque ! Mais le plus accablant est ce texte lancé par Sos Racisme, ces imposteurs qui nient la réalité du racisme anti-blanc, où le terme « extrême droite » ne vise que les chrétiens qui manifestent contre une pièce de théâtre, et les tenants d’un racisme qui, paraît-il, menacerait la France. Toute la bobocratie de gôche a signé ! C’est bien connu, camarades, des croyants qui défilent dans les rues de Paris en criant « Mort aux Juifs », sans que cela n’émeuve aucun des signataires du ridicule appel de Sopo et des siens, ne peuvent se réclamer de la religion de paix et d’amour. C’est bien connu, ce sont les intégristes catholiques qui ont commis 18.000 attentats mortels depuis le 11 septembre 2001, qui ont assassiné Théo Van Gogh, menacé de mort Robert Redecker, Ayaan Hirsi Ali, Geert Wilders, Oskar Freysinger, Christine Tasin et tant d’autres, hacké des centaines de sites depuis plusieurs mois, et veulent imposer leurs lois à l’ensemble de la planète !
Dans ce contexte, la manifestation de soutien à Charlie Hebdo fut un bide total. Alors que toute la gôche, politique, syndicale ou associative, avait signé l’appel, on ne vit qu’à peine 300 participants. Il parait qu’il fallait défendre la liberté d’expression et le droit à l’humour. C’est sans doute pourquoi, sous les ordres d’un nommé Guillaume Ayne, directeur général (rien que cela) de Sos Racisme, trois malabars du service d’ordre essayèrent de virer du parvis de l’Hôtel de Ville notre ami Pascal Hilout, qui, plein de candeur, avait voulu apporter sa solidarité à l’hebdomadaire satirique… Il fallut les huées de participants (comme quoi la base est plus saine que la tête) pour mettre fin à cette agression. C’est ce même Guillaume Ayne qui glapissait dans les micros, le 18 décembre 2010, contre un climat qui rappelle les heures les plus sombres de notre Histoire ! Comment mieux illustrer cette phrase d’un persifleur : « Sos Racisme défendant la liberté d’expression, c’est Pol Pot protestant contre la torture ! »
Notre journal est, lui aussi, habitué à être qualifié d’extrême droite, de « raciste », de fasciste et autres gentillesses par tous les aboyeurs du système médiatique. Le journal « L’Humanité » s’y était essayé, l’été dernier.
http://www.humanite.fr/03_08_2011-477353
Cela nous avait permis de leur faire une réponse cinglante, leur rappelant ce qu’ils étaient, et ce qu’ils avaient été.
http://ripostelaique.com/qui-de-riposte-laique-ou-de-lhumanite-est-le-plus-proche-de-lextreme-droite.html
Nous argumentions ainsi : « Faut-il rappeler à Lina Sankari qu’un régime d’extrême droite se caractérise par un parti unique, un chef nanti de tous les pouvoirs, le refus de tout processus démocratique, dont les élections, le refus des droits syndicaux et d’organisations autonome des travailleurs, le racisme, et l’absence de toute structure indépendante du pouvoir dans la société civile. Bref, un modèle que L’Humanité défendra bec et ongles tout au long de son Histoire, en le qualifiant honteusement de communisme, jusqu’à l’effondrement du mur de Berlin. »
Nous complétions : « Il nous semble donc, à travers tous ces exemples, historiques et actuels, que Riposte Laïque, qui se réclame de l’Héritage de la Révolution française, des Lumières, de Voltaire, de la liberté d’expression, de la laïcité, de l’égalité hommes-femmes, de la République, et qui combat férocement tous les totalitarismes, est bien plus éloigné des thèses de l’extrême droite que nos « amis » de L’Humanité ».
Nous sommes en effet des adeptes de Voltaire. Nous adorons le débat démocratique. La violence des mots d’un Delanoë, d’un Sopo, d’une Fourest, d’un BHL, d’un Cohn-Bendit, ou d’un Mélenchon (personnages dont les sosies sont souvent ridiculisés dans La faute du bobo Jocelyn », et de tant d’autres commissaires du politiquement correct, en est aux antipodes. Le pire est qu’elle est souvent complétée, sur le terrain, par la violence physique de petits nervis gauchistes ou celle des fanatiques de Forsane Alizza, qui se comportent comme les chemises noires, en Italie, ou les gardiens de la Révolution en Iran.
Pour illustrer le propos, Pierre Cassen et Christine Tasin ont tenu, ce week-end, leur première conférence-dédicace sur leur ouvrage de fiction. Rappelons que dans ce livre, Francis Laslande, arrivé au pouvoir le 6 mai 2012, pratique contre le peuple de France une nouvelle dictature, soutenue par toute la mouvance anti-raciste, la gauche mondialiste et les verlamistes, à qui ils vendent la France pour combler ses déficits et imposer « une nouvelle civilisation ». Au nom de l’état d’urgence contre « l’extrême droite », les libertés démocratiques de base sont supprimées, et toute pensée patriote est jugée délictueuse. Délire paranoïaque de Pierre et Christine ?
La majorité des lecteurs, venus en débattre, ont fait savoir à leurs auteurs que leur fiction les avait fait bien rire, mais surtout effrayés, tant elle paraissait, hélas, des plus probables, avec l’aggravation de la crise du système, et la progression des islamistes. C’est pourquoi, nombreux, ils ont acheté ce livre, dans lequel ils ont vu un outil militant, pour le faire lire à leur entourage.
Ils ont eu plus de chance que les prochains visiteurs du Bnai Brith, Staline-Corbière et ses amis n’avaient pas réussi à faire interdire la conférence !
Bref, la multiplication des censeurs, leur propension à vouloir interdire toute parole non conforme à leur pensée, est très inquiétante, et prépare d’autres totalitarismes. La liberté d’expression est en grand danger, et elle est menacée par ceux mêmes qui osaient appeler, hier, à manifester contre les intégrismes, mêlant de manière manipulatoire l’incendie des locaux de Charlie Hebdo et les manifestations chrétiennes, comme si cela était la même chose !
Or, le peuple ne s’y est pas trompé et s’est mis aux abonnés absents, l’échec patent de la manifestation de Sos Racisme le montre. Rien d’étonnant. Les Français voient de plus en plus clair et sont sans illusion à propos de leurs élites, prêtes à tout, y compris les pires méthodes totalitaires, pour conserver leur petit pouvoir, politique ou médiatique, et les avantages qui vont avec.
Cela ne pourra pas durer, surtout après le plan annoncé par Fillon…
Venez écouter, ce jeudi 10 novembre, la prochaine conférence de Pierre Cassen et Christine Tasin, qui, pour aggraver leur cas, ont accepté l’invitation du « Local », à Paris, un lieu que Staline-Corbière et ses amis n’ont pas encore réussi à faire fermer.
COMMANDER LE BOBO JOCELYN
Pour ceux qui ne l’ont pas encore commandé, nous vous rappelons comment procéder :
Commande d’un exemplaire de La faute du bobo Jocelyn, 19 euros pour un exemplaire, 30 euros pour deux exemplaires, 50 euros pour 4 exemplaires, frais de port compris (pensez à vos cadeaux de Noël mais pensez aussi que c’est peut-être l’occasion ou jamais d’offrir autour de vous, à tous ceux qui n’ont pas encore compris ce qui se passait, un roman qui peut les éclairer en douceur, par le biais de la fiction).
Autres ouvrages de Riposte Laïque : Les dessous du voile, La colère d’un Français, Résistance républicaine, Les Assises sur l’islamisation de nos pays : 10 € pour 1 livre, 16 € pour 2 livres, 20 € pour 3 livres (frais de port compris).
Le plus facile est de payer directement sur notre compte paypal (en haut à droite de notre site, cliquez sur « faire un don » et précisez la commande effectuée.
Sinon, merci d’envoyer les commandes accompagnées des chèques correspondants libellés à l’ordre de Riposte Laïque, BP 82035, 13201 Marseille Cedex 1.
Vous pouvez aussi les commander par Amazon :
http://www.amazon.fr/Faute-du-Bobo-Jocelyn/dp/2953604235
AGENDA RIPOSTE LAÏQUE
Le Jeudi 10 novembre, Pierre Cassen et Christine Tasin tiendront une conférence au Local, à partir de 19 h 30, autour de leur livre « La faute du bobo Jocelyn », sur le thème : « 2012, année de tous les dangers pour la France ».
Le Local, 92, rue de Javel, 75015 Paris
Le mardi 15 novembre, Conférence de Pascal Hilout tiendra une conférence à partir de 20 h – Centre de l’Aréopage, 12 rue St Joseph, 75002
Printemps arabe : vers un nouveau modèle islamique ?
Le Jeudi 17 novembre, Christine Tasin sera interrogée sur Radio Oxygène (Ariège) par Guy Decoupigny, de 18 heures à 19 heures.
Le Samedi 26 novembre, Dijon, 12 heures. Nous avons le plaisir de vous convier à un banquet républicain. Pierre Cassen et Christine Tasin l’animeront sur le thème « 2012, l’année de tous les dangers » et dédicaceront leur livre, la Faute du bobo Jocelyn, qui pourra être acheté sur place. La rencontre se fera sous la présidence de Jacques Philarchein, responsable de Résistance républicaine de Bourgogne-Franche Comté.
Un repas à 25 euros apéritif et vin compris sera proposé, merci d’envoyer avant le 15 novembre la demande d’inscription et le chèque correspondant libellé à l’ordre de Résistance républicaine à Résistance républicaine, 101 Avenue du Général Leclerc, 75685 Paris Cedex 14, sans oublier de noter numéro de téléphone et courriel ; dès réception, nous vous communiquerons le lieu de rendez-vous.
Le Lundi 28 novembre, à 20 heures, Pierre Cassen et Christine Tasin seront les invités des conférences du Site Enquête et Débats, au 12, rue Saint-Joseph, Paris 2e; Métro Bourse.