A l’invitation du site « Enquête et Débats » et de son animateur Jean Robin, pendant 40 minutes, Oskar Freysinger et Christine Tasin ont mené un débat exceptionnel sur le droit à l’avortement. Ces deux personnes s’apprécient réciproquement, partagent des inquiétudes semblables quant à l’avenir de la civilisation européenne et de nos valeurs démocratiques, confrontées à l’offensive de l’islam. Pour autant, elles ont une divergence forte sur le droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Dans cet échange, d’une grande qualité, les deux débatteurs défendent avec conviction, parfois avec passion, leur point de vue. Ils n’utilisent jamais de langue de bois, leurs propos sont empreints d’authenticité, et parfois même de beaucoup d’émotion. On est loin du cliché du défenseur de la vie avec une tête de croque-mort, et de la féministe hystérique vociférante. On devine qu’à la fin du débat, ils ont été capables d’aller manger ensemble amicalement. Qui mieux qu’ Oskar et Christine incarnent l’esprit de Voltaire, et sa célèbre phrase : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire »?
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http://www.enquete-debat.fr/archives/debat-historique-sur-lavortement-59644/
Pierre Cassen est dans le même esprit quand il accepte, le mardi 13 décembre, à 20 heures, espace Saint-Paul, un débat sur le thème : « Quelle laïcité ? » avec l’abbé Guillaume de Tanouarn. Il suffit de regarder le CV de ce prêtre pour comprendre que les deux hommes sont aux antipodes. Mais les laïques doivent-ils se contenter d’assister à des débats entre le Grand Maïtre du GODF, le président de la Libre Pensée et Pena-Ruiz, qui diront à peu près la même chose ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_de_Tano%C3%BCarn
Pendant que Pierre, Christine et toute l’équipe de Riposte Laïque continuent à afficher leur culture du débat démocratique, surtout avec ceux qui ne pensent pas comme eux, nos adversaires, eux, illustrent jusqu’à la caricature un totalitarisme de la pensée de plus en plus effrayant. Alain Rubin évoquait, la semaine dernière, le dernier exploit du MRAP : avoir traîné devant les tribunaux la chanteuse et actrice Marie Laforêt, qui avait commis le grave crime, en faisant passer une annonce, d’expliquer qu’ayant un chien à son domicile, elle conseillait aux asthmatiques et aux musulmans orthodoxes (pour qui cet animal est impur) de ne pas postuler.
Dans le même élan, ce sont cette fois nos « amis » de SOS Racisme qui prennent le relais. On se souvient que ces grands défenseurs de la liberté d’expression s’étaient ridiculisés en essayant, vainement, d’interdire à notre camarade Pascal Hilout de participer au rassemblement de soutien à Charlie Hebdo, notre rédacteur étant classé par le commissaire politique Guillaume Aymé comme d’extrême droite !
Cette fois, les cerbères de Dominique Sopo ont trouvé une autre cible : Patrick Besson, chroniqueur au Point. Quel crime a commis ce misérable ? Il a osé commettre un article, intitulé « Éva Joly, présidente de la République », où il imite, dans l’écriture, le grossier accent norvégien de la candidate à la présidentielle des Verts.
http://www.lepoint.fr/editos-du-point/patrick-besson/eva-joly-presidente-de-la-republique-01-12-2011-1402786_71.php
Immédiatement, la police de la pensée, aussi efficace en France que la police des mœurs en Iran, entre en action. Ce sont d’abord les vaillants cerbères de SOS Racisme qui montent au feu, et exigent des sanctions exemplaires contre l’auteur, comparé, bien évidemment, à l’extrême droite du 19e siècle qui attaquait l’accent toulousain de Gambetta. Tous des racistes, bien sûr ! Sauf que Sos Racisme se prend les pieds dans le tapis, car, selon Sopo, le racisme anti-blanc n’existe pas, il ne peut donc pas y avoir racisme contre Eva Joly !
http://www.sos-racisme.org/content/sos-racisme-l%E2%80%99indigne-edito-de-patrick-besson-est-il-un-fake
Ensuite, ce sont les disciples de Mélenchon qui poursuivent le travail. Et pas un simple lieutenant comme Corbière, mais le bras droit de Méluche en personne, François Delapierre, lui-même ancien secrétaire de SOS Racisme dans ses jeunes années ! « Je sors consterné de la lecture du billet de Patrick Besson sur Éva Joly dans le Point de cette semaine où il invente un discours de présidente ridiculisée par un accent norvégien (ou allemand ?) ». En réactivant le spectre du ‘boche’ au détriment d’une compatriote, M. Besson fait preuve d’une xénophobie insupportable. Il manifeste un communautarisme atterrant en effaçant les propos d’ Éva Joly derrière son origine. Il sous-entend que les Français nés ailleurs ne sont pas des citoyens à part entière. Il souffle sur les braises de l’affrontement entre les peuples alimenté par la crise comme par la dérive autoritaire de l’Union Européenne. Ce n’est pas simplement grotesque, c’est criminel ».
Bref, à lire la prose de François Delapierre, Besson est un salaud ! Bref, il faut interdire au plus vite le film « Babette s’en va en guerre », où Francis Blanche imitait l’accent d’un officier allemand, Papa Schultz, qui, de manière frénétique, tout au long du film, hurlait « Pan, pan, pan, fussillé ! » Et cela faisait éclater de rire les Français, quelle horreur ! Qu’elle est effrayante, la société que nous préparent les Delapierre-Mélenchon-Corbière et leurs amis ! S’interroger sur le fait qu’ Éva Joly ait la double nationalité, ne maitrise pas notre langue, et puisse postuler à la présidence serait donc, selon les vaillants héritiers de Staline, xénophobe et forcément raciste ! Besson doit donc s’excuser, être durement sanctionné, et sans doute aller en camp de rééducation ! Notre dessinateur RI7 est un peu jaloux, lui qui, le premier, a commis des illustrations montrant l’ancien juge, avec un tee-shirt : « Fotez Efa Choly ». Pierre Cassen et Christine Tasin eux-mêmes, dans leur ouvrage, « La faute du bobo Jocelyn » ont fait de la candidate verte la porte-parole du gouvernement, et ont moqué son accent, lors de l’annonce du gouvernement.
Plus important, dans leur fiction, les deux auteurs font entrer au gouvernement toute la mouvance « anti-raciste ». Ils font dire à un philosophe, ministre de la Défense du gouvernement Laslande-Bory, nommé Bernard-Rémi Ravi, qu’on était dans les années 30, et qu’il fallait arrêter la montée du fascisme. En toute logique, avec des arguments semblables à ceux de Delapierre, il interdit toute référence à la souveraineté de la France, et fait dissoudre tous les partis, associations ou sites internet qui se réclament de la préférence nationale. Quand on lit les derniers exploits du MRAP, de SOS Racisme ou des lieutenants de Mélenchon, est-on dans la seule fiction, ou bien hélas avançons-nous à grands pas vers cette dictature de gôche qu’annoncent Pierre et Christine dans leur ouvrage ?
A Riposte Laïque, nous préférons le débat démocratique à la dictature de la pensée unique. Nous aurions aimé débattre avec Fourest, Mélenchon ou BHL quand ils nous annonçaient des printemps arabes qui allaient déboucher forcément sur l’émancipation des populations arabes… sans avoir besoin de se débarrasser du poids de l’islam !
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http://www.prechi-precha.fr/2011/11/02/quand-melenchon-analysait-le-printemps-arabe-video/
De même, nous aurions aimé « causer » avec les invités du Parti socialiste, ce mardi 6 décembre, qui, pour son deuxième colloque sur la laïcité, met en vedette… la militante musulmane Dounia Bouzar, celle qui exige que la France multiplie les accommodements raisonnables avec l’islam ! Mais ces gens là, pour mieux masquer leur couardise, se drapent derrière de nobles principes : « On ne débat pas avec l’extrême droâââte », injure qui, comme le dit si bien Guy Sauvage, est aujourd’hui la dernière arme des médiocres.
Ainsi, Bernard-Henri Lévy, qui ressemble étrangement au philosophe-ministre de la fiction de Pierre Christine, qualifie, sur la chaîne Paris Première, sans vergogne, Marine Le Pen de « crypto-fasciste » et parle de « pourriture souverainiste » pour qualifier le patriotisme. Ce milliardaire, défenseur fanatique de la mondialisation libérale, ne peut cacher son mépris pour notre peuple, et son arrogance de caste quand il absout Dominique Strauss-Kahn de toute culpabilité. Et ce sont tous ces gens là, Mélenchon-Fourest-BHL, qui sommaient le peuple français de prendre modèle sur ce qu’ils appelaient les printemps arabes, quand, dès mars 2011, Hamdane Ammar et l’ensemble de Riposte Laïque expliquaient qu’il n’y aurait pas de révolution sans remise en cause de l’islam ! Piteux, ils essaient, aujourd’hui, de nous vendre la fable de l’islamisme modéré ! Les nouveaux totalitaires de la pensée, ce sont eux, ils portent en eux tous les germes de la future dictature qui nous guette !
Cela ne leur a jamais posé problème que le musulman Cortex et deux autres barbares se permettent, sur nombre de vidéos, d’éructer leur haine contre les patriotes, d’appeler à la violence physique contre eux, et même au viol de Marine Le Pen… Ils n’ont pas davantage déposé plainte contre les paroles haineuses de certains rappeurs, leur appel au meurtre contre des policiers, à la violence contre des Français, ou au viol contre des Françaises ?
Où est le vrai racisme, Sopo ? Où est le vrai fascisme, Mélenchon ? Où est la véritable extrême droite, où est la vraie pourriture, BHL ? Où est la vraie barbarie, Fourest ?
Ce sont pourtant Pierre Cassen et Pascal Hilout qui passeront, le 3 février, dans moins de deux mois, devant la 17e chambre correctionnelle de Paris, suite à une plainte ridicule, pour incitation à la haine raciale en raison d’une appartenance religieuse, de la LDH, relayée par la LICRA, SOS Racisme et le CCIF, un machin reconnu d’utilité publique, avec les déductions d’impôts qui vont avec ! C’est une Fanny Truchelut qui est condamnée plus lourdement que Cortex ! C’est un René Galinier qui reste en prison de longs mois. C’est une Marie-Neige Sardin qui passe une nuit en garde à vue !
On voit très bien les deux types de sociétés qui se font face, et le rôle de chacun.
D’un côté le système financier, et ses larbins : UMP, PS et ses satellites Verts, PC, Parti de gauche, médias aux ordres, anti-racistes gavés de subventions. Pour aller à la mondialisation à marche forcée, il leur faut accélérer la transformation de notre pays, lui imposer l’Union fédérale et la dictature de la finance, une société de plus en plus multiculturelle, s’appuyant sur une politique migratoire au service de l’islam. Les racailles violentes et les islamistes conquérants bénéficient d’une mansuétude extraordinaires de la part des médias, de la gôche, et de nombre de juges. Le racisme anti-blanc ou anti-français est ignoré, la violence quotidienne contre nos compatriotes totalement niée. C’est dans ce contexte, marqué par la montée du communautarisme et l’islamisation de notre pays, que les socialistes et l’ensemble de la gauche, mais aussi une Boutin, réclament le droit de vote pour les étrangers, pour mieux minorer encore la parole des Français.
A l’image d’un Cohn-Bendit, nos élites n’aiment pas la démocratie, ni le vote d’un peuple qui commet le crime de lèse-majesté, en 2005 en France ou en Hollande, en 2009 en Suisse, de ne pas faire ce que la bien-pensance lui ordonne. Ils rêvent d’une dictature qui nous réduisent au silence.
En face, le camp des patriotes, insulté, sali, injurié, est réduit à une expression minimale sur les grands médias. Même si Marine Le Pen, le temps d’une campagne, réussit à percer, quand entend-on Paul-Marie Coûteaux, François Asselineau, Jacques Myard, André Gerin, Nicolas Dupont-Aignan et autres amoureux de la France ? Il faut faire taire, et diaboliser au maximum la parole des patriotes. La police de la pensée veille. Les choses sont de plus en plus claires. Les chaînes publiques sont mobilisées pour « casser Marine » et toute idée d’une France indépendante, assimilée systématiquement à « la pourriture souverainiste » comme dirait BHL, le gourou d’une Caroline Fourest, chargée par le système de démolir la présidente du Front national, jusqu’aux présidentielles, dans des émissions faites sur mesure pour cela.
Mais ils sont à bout de souffle. Leur euro s’effondre, leur Union Européenne prend l’eau, leur système craque de partout. Malgré tout, ils paraissent prêts à avoir recours aux pires moyens dictatoriaux pour se maintenir en place. On peut faire confiance à leur sens de la dialectique pour nous expliquer que le recours à la dictature est nécessaire pour sauver la démocratie…
Il leur faut empêcher à tout prix le peuple de se tourner davantage vers les patriotes. Les enjeux sont de plus en plus clairs, deux projets de société totalement incompatibles sont face à face.
Lénine disait que le socialisme était le rempart à la barbarie. Aujourd’hui, la barbarie mondialiste et multiculturelle, que de prétendus socialistes mettent en place, qu’un Cortex et nombre de ses semblables préfigurent, ne peut avoir qu’un seul rempart : le patriotisme, et le retour à notre souveraineté.
COMMANDER LE BOBO JOCELYN
Pour ceux qui ne l’ont pas encore commandé, nous vous rappelons comment procéder :
Commande d’un exemplaire de La faute du bobo Jocelyn, 19 euros pour un exemplaire, 30 euros pour deux exemplaires, 50 euros pour 4 exemplaires, frais de port compris (pensez à vos cadeaux de Noël mais pensez aussi que c’est peut-être l’occasion ou jamais d’offrir autour de vous, à tous ceux qui n’ont pas encore compris ce qui se passait, un roman qui peut les éclairer en douceur, par le biais de la fiction).
Autres ouvrages de Riposte Laïque : Les dessous du voile, La colère d’un Français, Résistance républicaine, Les Assises sur l’islamisation de nos pays : 10 € pour 1 livre, 16 € pour 2 livres, 20 € pour 3 livres (frais de port compris).
Le plus facile est de payer directement sur notre compte paypal (en haut à droite de notre site, cliquez sur « faire un don » et précisez la commande effectuée.
Sinon, merci d’envoyer les commandes accompagnées des chèques correspondants libellés à l’ordre de Riposte Laïque, BP 82035, 13201 Marseille Cedex 1.
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AGENDA RIPOSTE LAÏQUE
Mardi 13 décembre, à 20 h, débat : Quelle laïcité ?
Avec Christine Tasin, Pierre Cassen et l’abbé Guillaume de Tanoüarn.
Centre Saint-Paul, 12, rue Saint-Joseph, 75002 Paris, Métro Bourse.
Vendredi 16 décembre, à 18 heures, à Metz, conférence de Pierre Cassen et Christine Tasin, sur le thème : 2012, année de tous les dangers, et dédicace du livre « La faute du bobo Jocelyn ». Entrée 6 euros, donnant droit à un apéro saucisson-pinard.
10, rue Lafayette (100 mètres de la gare), 57000 Metz
Samedi 17 décembre, banquet républicain à Nancy, à 20 heures, autour du livre « La faute du bobo Jocelyn ».
Samedi 28 janvier, 20 heures, banquet républicain à Nîmes, autour du livre « La faute du bobo Jocelyn ».