
Depuis une semaine, du lundi au vendredi, à partir de 19 h 50, Christine Tasin nous propose le Journal des Résistants (JR). C’est un pari audacieux, qui nécessite énormément de temps et d’énergie, mais nous savons que cet investissement sera payant, et ouvrira les yeux de nombre de nos concitoyens. Si vous avez des informations intéressantes, ou des images inédites, faites les nous parvenir, Christine jugera de l’opportunité de les utiliser ou pas. N’hésitez surtout pas, d’autre part, à faire circuler ces vidéos à votre carnet d’adresse, à les publier sur les réseaux sociaux, comme facebook, twitter ou autres. Il faut que rapidement de plus en plus de concitoyens aient le réflexe, en cliquant sur http://www.ripostelaique.com, d’écouter, chaque soir de la semaine, le JR, une autre façon de traiter l’actualité.
Nous sommes à présent en mesure de vous proposer la couverture de notre dernier livre « Apéro saucisson-pinard », dont le titre, nous n’en doutons pas, va provoquer la fureur de nombre de bien-pensants, à l’instar de ce journaliste de la Dépêche du Midi, à qui nous avons demandé un droit de réponse pour son article injurieux et malveillant. Selon ces grands « démocrates », célébrer des spécificités gastronomiques de la France, c’est bien évidemment du racisme larvé. Ben voyons !
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http://www.youtube.com/watch?v=m0yUOiCT0kQ
C’est dans ce contexte que Pierre Cassen, et Pascal Hilout passeront donc devant la 17e chambre correctionnelle, le vendredi 3 février, à partir de 13 h 30, au Palais de Justice de Paris. Leur crime : pour le premier, avoir assumé, en tant que rédacteur en chef, la responsabilité de deux éditos, dont l’écriture d’un d’entre eux. Pour le second, avoir, sous le nom de Cyrano, écrit le deuxième. Ont-ils formulé des choses graves ? Nous vous laissons en juger, en lisant ces deux articles, repris par le site « Poste de Veille ».
Selon la LDH (1), initiatrice de la plainte, soutenue par le MRAP, la LICRA et le CCIF, ces deux textes constitueraient une incitation à la haine « à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».
Le philosophe Radu Stoenescu ne résumait-il pas la réalité de ce procès, dans un article intitulé « Pour sauver leur fond de commerce, les anti-racistes ont dénaturé le mot racisme »
Dès que nous avons rendue publique cette information, il y a un an, nous avions perçu, autour de nous, un double élan, de révolte et de solidarité. Nous sentons, dans ce pays, monter une exaspération, une colère sourde, contre ces associations qui, vivant largement des subventions publiques, ont perverti le légitime combat anti-raciste, en le transformant en idéologie sectaire, au service du multiculturalisme et de l’islamisation de notre pays. Les Français ne supportent plus que la moindre critique de l’islam, la moindre allusion aux origines de la majorité des délinquants soient immédiatement qualifiées de « racistes ». Cela leur est d’autant plus insupportable que nombre d’entre eux subissent, dans leur quotidien, des agressions verbales ou physiques, en raison de leur origine ou de la couleur de leur peau, et que, dans ces cas là, les prétendues associations anti-racistes brillent par leur silence, théorisant la doctrine d’un Sopo ou d’une Bouteldja affirmant que le racisme anti-blanc n’existerait pas !
Faut-il rappeler que la LDH, qui a instruit ce procès, a un budget de 2 millions d’euros l’année. On peut penser que la LICRA et le MRAP tournent aux environs de 1 million d’euros l’année. Quant au quatrième compère, le Collectif contre l’Islamophobie en France (CCIF), honteusement reconnu d’utilité publique, il ne cache pas, par la bouche de son président, le but des procès qu’il intente, et ses besoins d’argent !
On peut, sans se tromper, affirmer que le rapport de forces financier entre RL et ses accusateurs se situe de un à mille. Notre journal n’a aucun permanent, ils en ont plusieurs dizaines. Il n’a pas de local, ils bénéficient de dizaines de bureaux à Paris et en province. RL ne touche aucune subvention, les leurs se comptent en centaines de milliers d’euros chaque année, que cela vienne de l’ État ou des collectivités locales. Quand nous faisons une initiative comme « L’apéro saucisson-pinard » ou « Les assises internationales sur l’islamisation de nos pays », nous les auto-finançons, ou nous perdons de l’argent, ils bénéficient, eux, malgré leurs subventions, de participations exceptionnelles qui remplissent encore davantage leurs caisses. Nous n’avons jamais cherché à faire interdire une de leurs actions, ou appeler à des contre-manifestations, quand ils multiplient menaces et intimidations contre les nôtres. Notre association ne peut multiplier les procès à répétition, malgré toutes les calomnies, menaces et insultes subies (voir entre autres l’article le plus ignoble, de Fiammetta Venner paru dans une revue de la Licra, ou celui de BHL qui vaut une mise en examen de son auteur, suite à une plainte du Bloc Identitaire), ils ont à leur disposition des avocats capables de multiplier intimidations et plaintes contre leurs adversaires. Nous jouons notre peau dans ce procès, pour eux, c’est une goutte d’eau dans l’océan.
C’est leur logique inquisitrice qui a amené devant les tribunaux des personnes respectables comme Michel Houellebecq, Fanny Truchelut, Éric Zemmour, Marie-Neige Sardin, aujourd’hui Pierre Cassen et Pascal Hilout, et combien d’autres de malheureux concitoyens, salis, calomniés, insultés et parfois ruinés par les nouveaux Torquemada de l’anti-racisme. Leur crime : ne pas aimer l’islam, le message peu amical qu’il véhicule sur notre territoire, et oser le dire !
Ce procès révolte nombre de nos amis, et plus largement des lecteurs qui, bien que ne partageant pas toujours les écrits de Riposte Laïque, connaissent Pierre et Pascal. Chacun sait que leur place n’est pas devant un tribunal. Personne ne les imagine tenir le moindre propos raciste. Chacun comprend que les maîtres-censeurs, incarnation d’un effrayant totalitarisme de la pensée, battus politiquement, veulent « se faire » Riposte Laïque, en nous frappant à la caisse. Ils rêvent de faire taire définitivement un journal qui les dérange, et à qui ils ne pardonnent pas une liberté de ton, voire parfois un humour totalement étranger à leur dogmatisme. Nous allons, tout au long de ce mois, informer nos lecteurs sur l’action passée et présente de ceux qui osent nous poursuivre en justice.
Nous avons senti, tout au long de cette semaine, un immense élan de solidarité. Certains nous envoient des dons, qui nous l’e
spérons, contribueront à nous faire traverser sans trop de dommage cette épreuve. D’autres nous témoignent par écrit leur solidarité, et nous affirment qu’ils ne laisseront jamais RL ne plus paraître, qu’ils en ont trop besoin, à présent. Que dire de ces lecteurs de province, et même de Suisse et de Belgique, qui nous ont fait savoir qu’ils prendraient leur disposition pour être avec nous, ce vendredi 3 février, et nous montrer que nous ne sommes pas seuls. Naturellement, comme nous avons du savoir-vivre, à RL, nous leur disons d’abord merci, et nous donnerons rendez-vous, après le procès, à tous nos amis, pour finir la soirée ensemble, dans une ambiance chaleureuse et amicale qui nous fera oublier les tracas de la journée.
Sans dévoiler notre ligne de défense, ceux qui nous connaissent savent que nous n’irons pas à ce procès en victimes expiatoires. Nous produirons sept témoins, tous fort différents, dont les propos et le vécu ne pourront laisser le public, nos accusateurs et les juges insensibles. Nous n’avons pas choisi d’aller devant les tribunaux, mais, quitte à y être, nous entendons nous défendre au mieux, justifier les deux articles incriminés, expliquer ce que sont nos valeurs, et démontrer en quoi elles sont incompatibles avec le racisme et l’islamisation de notre pays.
Le 3 février, nous faisons confiance à Pierre, Pascal, et à notre avocat, Maître Joseph Scipilliti, pour défendre l’honneur de Riposte Laïque, et hisser haut nos valeurs fondatrices : laïcité, république, nation, droit des femmes, liberté de conscience, démocratie, droit au blasphème, et surtout, amour de la France de Voltaire.
(1) Ligue des droits de l’Homme, 138 rue Marcadet, 75018 Paris
ldh@ldh-france.org
Téléphone : (33) 01 56 55 51 00
Fax : (33) 01 42 55 51 21
COMMANDER LE BOBO JOCELYN
Pour ceux qui ne l’ont pas encore commandé, nous vous rappelons comment procéder :
Commande d’un exemplaire de La faute du bobo Jocelyn, 19 euros pour un exemplaire, 30 euros pour deux exemplaires, 50 euros pour 4 exemplaires, frais de port compris (pensez à vos cadeaux de Noël mais pensez aussi que c’est peut-être l’occasion ou jamais d’offrir autour de vous, à tous ceux qui n’ont pas encore compris ce qui se passait, un roman qui peut les éclairer en douceur, par le biais de la fiction).
Commande de notre dernier livre, Apéro saucisson-pinard (édition Xénia), 15 euros, frais de port compris, jusqu’au 31 janvier, 18 euros jusqu’au 15 mars, 21 euros après (sortie le 16 mars).
Autres ouvrages de Riposte Laïque : Les dessous du voile, La colère d’un Français, Résistance républicaine, Les Assises sur l’islamisation de nos pays : 10 € pour 1 livre, 16 € pour 2 livres, 20 € pour 3 livres (frais de port compris).
Le plus facile est de payer directement sur notre compte paypal (en haut à droite de notre site, cliquez sur « faire un don » et précisez la commande effectuée.
Sinon, merci d’envoyer les commandes accompagnées des chèques correspondants libellés à l’ordre de Riposte Laïque, BP 10001, 78570 Chanteloup-les-Vignes.
Vous pouvez aussi les commander par Amazon :
http://www.amazon.fr/Faute-du-Bobo-Jocelyn/dp/2953604235
AGENDA RIPOSTE LAIQUE
Vendredi 13 janvier, de 12 heures à 13 h 30, Pierre Cassen répondra aux questions des animateurs sur le livre « La faute du bobo Jocelyn »
Mercredi 18 janvier, à 18 heures, sur Radio Courtoisie, Christine Tasin sera l’invitée de Gérard Marin.
Jeudi 26 janvier, 2012, l’année de tous les dangers : conférence-débat à Toulouse suivie d’un apéro saucisson-pinard
Participation aux frais de 6 euros comprenant le droit d’entrée et l’apéro saucisson-pinard. Inscription avant le 15 janvier accompagnée d’un chèque de 6 euros à l’ordre de Résistance républicaine, joindre le courriel et le téléphone pour communication du lieu.
A envoyer à Résistance républicaine, 101 Avenue du Général Leclerc, 75685 Paris Cedex 14
Samedi 28 janvier, à midi, banquet républicain à Nîmes, autour du livre « La faute du bobo Jocelyn ».
Lundi 30 janvier, Christine Tasin participera, sur Radio Courtoisie, à un débat sur la francophonie, à l’invitation de l’ambassadeur Salon.
Vendredi 3 février, à partir de 13 h 30, procès de Pierre Cassen et Pascal Hilout, poursuivis par la LDH, le Mrap, la Licra et le CCIF.
Palais de justice, 4, boulevard du Palais, 75001 Paris
Vendredi 24 février, banquet républicain à Toulon, autour du livre « La faute du bobo Jocelyn ».
Jeudi 15 mars, soirée parisienne pour la sortie du livre « Apéro saucisson-pinard », de Christine Tasin, Pierre Cassen et Fabrice Robert.
Vendredi 30 mars, à Vendôme, 20 h 30, à l’invitation du Comité Vendomois de Défense de la Laïcité (CVDL). Conférence-Débat d’Anne Zelensky : Féminisme et Laïcité, des enjeux essentiels pour la présidentielle.
Le Minotaure, 8 rue César de Vendôme, 41 – Vendôme