Oseront-ils condamner Pascal et Pierre, après avoir acquitté Bouteldja ?

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Le président de la République a parlé, hier soir. Il a annoncé des mesures d’austérité, et sa majorité loue son « courage » qu’elle oppose à la démagogie supposée du candidat socialiste. Tout cela n’est pourtant que du théâtre, nos lecteurs savent depuis longtemps que l’UMP et le PS sont d’accord sur l’essentiel, et que leurs divergences minimes servent à nous faire croire qu’il y a un véritable enjeu de société qui sépare les deux camps. Depuis trente ans, ils ont laminé la France, lui ont fait subir l’Union européenne qui lui a volé sa souveraineté, une immigration sans intégration qui a miné la cohésion du pays, et une islamisation accélérée qui sape les fondements de la République laïque.
Mais revenons sur le « courage » supposé du président de la République. Ce vendredi 3 février, nos amis Pascal Hilout et Pierre Cassen passent devant la 17e chambre correctionnelle, accusés par la Ligue des Droits de l’Homme, le Mrap, la Licra et le Collectif contre l’Islamophobie en France (CCIF).  Leur crime ? A travers deux textes, il leur est reproché, rien de moins, d’avoir provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de personnes à raison de leur appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. Depuis longtemps, Riposte Laïque a rendu publics ces textes. Aucun lecteur ne nous a encore dit qu’il y avait vu la moindre trace de racisme, ou d’appel à la violence. Mais la plainte des prétendus anti-racistes a tout de même été instruite, et nos amis risquent donc 1 an de prison et 45.000 euros d’amende, chacun, rien de moins ! Riposte Laïque doit engager des frais, pour faire face à ce procès. Le but des associations plaignantes est clair : ruiner le journal, pour mieux le tuer.
Quelles sont ces associations, et que représentent-elles ? Jean Pavée nous montre la réalité du combat anti-laïque de la LDH, depuis des années. Après avoir accueilli Tariq Ramadan dans sa commission « Islam et laïcité », elle a, en 2004, ouvert ses portes à Houria Bouteldja et à ceux qui refusaient la loi contre le voile et autres signes religieux à l’école. De nombreux militants l’ont quittée, ulcérées par les trahisons laïques répétées de ses dirigeants. La LDH aujourd’hui, c’est 2000 militants, et 2 millions d’euros de budget à l’année, essentiellement grâce à nos impôts !
Le Mrap vient de réussir l’exploit de faire condamner Marie Laforêt, qui, parce qu’elle a un chien, avait fait passer une annonce demandant aux musulmans orthodoxes, pour qui cet animal est impur, de ne pas se déplacer inutilement ! Comme Tubiana à la LDH, le Mrap a fait fuir ses meilleurs militants, par sa politique au service de l’islam, et ne compte plus guère que quelques centaines de militants dans toute la France. 
La Licra est d’une discrétion étonnante sur la montée de l’antisémitisme, qui sévit dans notre pays. Ses dirigeants n’ont pas dû lire le dernier livre « Kiffe la France », de Jean-François Chaumier, qui montre, dans un collège du 93 comprenant 70 % d’élèves issus de l’immigration post-coloniale, l’endoctrinement islamique de la majorité d’entre eux, et leur fascination pour Hitler et Ben Laden ! La Licra, qui oublie de s’appliquer la diversité qu’elle réclame aux autres, ne vit principalement que de subventions, et absolument pas des cotisations de ses rares adhérents.
Cerise sur le gâteau, le président du CCIF (Collectif contre l’Islamophobie en France) admet qu’ils ne sont guère plus de dix, qu’il regrette que les procès ne leur rapportent pas davantage d’argent, et ne cache pas sa volonté de remettre en application le délit de blasphème. Ils ont réussi à être reconnu d’utilité publique, ce qui fait que l’Etat français, en période de grave crise économique, reverse 66 % des donations effectuées aux généreux bienfaiteurs qui financent ce lobby anti-laïque.
Sos Racisme ne s’est pas porté partie civile contre Riposte Laïque, à notre connaissance. Ils s’étaient contenté de traîner Eric Zemmour devant les tribunaux, il y a un an. Ses militants avaient voulu expulser Pascal Hilout d’une manifestation de soutien à Charlie Hebdo. Ils  comptent aujourd’hui moins de 500 adhérents, mais ont un budget annuel de 1 million d’euros, dont 500.000 euros de subvention. L’ancien militant Omar Djellil expliquait, dans une interview vidéo, les liens étroits entre cette association et le Parti socialiste, et le refus de la direction de s’intéresser au racisme anti-blancs. Les militants de Sos Racisme sont aujourd’hui en service commandé contre Marine Le Pen, dans laquelle ils voient « la bête immonde », rien de moins, et multiplient opérations coup de poings et provocations à son encontre.
A elles toutes, ces organisations anti-racistes ne comptent pas davantage que 4.000 militants, et encore, c’est bien payé ! Mais depuis vingt ans, elles opérent un véritable harcèlement juridique contre la liberté d’expression, font peser une véritable chape de plomb sur toute la société française, et relaient sans sourciller les discriminations institutionnalisées de l’islam dans la société française, comme le montre ce remarquable article de Nedaa-Amal Zohra.
Si le président de la République était pourvu du courage que lui prêtent ses amis politiques, il aurait depuis longtemps abrogé les lois Gayssot et Pleven, qui permettent à ces officines dites anti-racistes de poursuivre devant les tribunaux de nombreux citoyens innocents, que ces nouveaux Torquemada font passer pour des dangereux racistes. Le procès de Pascal et Pierre est révélateur de l’inversion des valeurs qui frappe notre pays, sous l’influence d’une idéologie compassionnelle se réclamant de gauche. Deux personnes connues pour leur humanisme et leur amour de la France laïque, doivent répondre d’accusations graves, quand des rappeurs racistes, des prêcheurs islamistes, des racailles haineuses appellent ouvertement, en toute impunité, à la violence contre les Français. Des femmes exemplaires comme Fanny Truchelut ou Marie-Neige Sardin ont été condamnées, quand Houria Bouteldja, ses propos racistes et ses appels pathologiques à rééduquer les Blancs, a été acquittée par le tribunal de Toulouse.
Dans le pays de Voltaire, à cause des commissaires politiques de gôche qui sévissent dans de nombreux secteurs clé de la société, on ne peut plus s’exprimer librement, sans être ouvertement accusé de « racisme ». Une chape de plomb digne des pays totalitaires est en train de recouvrir la France. Mais, chose amusante, les mêmes qui militent pour la juridiciarisation du débat politique réclament, pour eux, une totale liberté d’expression ! Ainsi, le vice-procureur de Castres, Philippe Mao, a-t-il, lors d’une plaidoirie, fait le grand numéro classique des heures les plus sombres de notre histoire, reprochant, de manière très politicienne, au gouvernement d’être responsable de ce climat. Colère du député local UMP, Bernard Carayon, qui réclame des sanctions contre l’auteur des propos. Emotion du syndicat de la Magistrature, qui y voit bien évidemment une inqualifiable remise en cause de la liberté d’expression des juges dans une audience, et refuse tout principe d’enquête du gouvernement contre un magistrat. Bref, selon ce syndicat, très influent dans les différents partis de gauche, un magistrat aurait le droit de tenir n’importe quel propos dans un tribunal, au nom de la liberté d’expression. Mais ce même syndicat n’est absolument pas dérangé quand des lois qui permettent aux nouveaux inquisiteurs de trainer devant les tribunaux des citoyens qui n’ont qu’un tort : dire des vérités qui dérangent le politiquement correct.
Cette volonté de museler toute parole libre qui dérange devient caricaturale. Le procès de Pascal et Pierre est grotesque, dans un pays où par ailleurs les tribunaux sont surchargés, où la délinquance explose. N’y a-t-il vraiment plus de délinquants à poursuivre pour s’attaquer à nos deux amis qui ont constamment eu un seul soucis : que la Justice, que la Police et que la République se réapproprient les territoires qu’elles ont perdus au fil des trente dernières années ?
Cette France, que Nicolas Sarkozy a laissé s’enfoncer, ressemble déjà tellement à celle que Pierre Cassen et Christine Tasin décrivent, après la victoire de Francis Laslande, dans « La faute du bobo Jocelyn ». Une France qui préfère Houria Bouteldja à Pascal Hilout, quand la première qualifiait le second de « Bougnoule » dans une réunion publique, traite  publiquement et impunément les Français de « sous-chiens » et appelle les « cités sensibles » à  l’insurrection…  Une France  que le journaliste du « Nouvel Observateur » Hervé Algalarrondo résume dans le titre de son dernier livre  « La gauche et la préférence immigrée ». Une France qui demande aux travailleurs pauvres, aux classes moyennes et aux retraités de se serrer la ceinture, mais qui accorde toutes les exonérations fiscales aux nantis et nombre de prestations gratuites (aide et sécurité sociale, retraite) à de nouveaux arrivants qui n’ont jamais cotisé. Cette France métissée, au service de la mondialisation libérale, que l’UMP, le Modem, le PS, les Verts et Parti de gauche veulent substituer à la France démocratique et républicaine.  
En toute logique, pour arriver à cet objectif, autant subventionner des associations qui militent ouvertement pour ce projet… et les laisser harceler juridiquement les Résistants qui aiment trop la France pour laisser ses fossoyeurs la détruire. D’où le gavage des associations anti-racistes, d’où le procès d’Eric Zemmour il y a un an, d’où le procès de Pascal et de Pierre ce vendredi…. Et d’où le Journal des Résistants de Christine Tasin, que nous vous engageons à faire connaître à tous vos amis.
Nous sentons un souffle, un élan patriotique, derrière Pascal et Pierre. Nous savons qu’ils ne sont pas seuls. Ce procès sera éminemment politique, à moins de trois mois des présidentielles. Son verdict sera un message fort, que les juges enverront à toute la société française. Nous savons pouvoir compter sur Pascal, Pierre, et sur leur avocat, Maître Joseph Scipilliti, sur Oskar Freysinger et nos six autres témoins, pour être à la hauteur des enjeux, et défendre au mieux l’esprit de Riposte Laïque.
COMMANDER LE BOBO JOCELYN
Pour ceux qui ne l’ont pas encore commandé, nous vous rappelons comment procéder :
Commande d’un exemplaire de La faute du bobo Jocelyn, 19 euros pour un exemplaire, 30 euros pour deux exemplaires, 50 euros pour 4 exemplaires, frais de port compris (pensez à vos cadeaux de Noël mais pensez aussi que c’est peut-être l’occasion ou jamais d’offrir autour de vous, à tous ceux qui n’ont pas encore compris ce qui se passait, un roman qui peut les éclairer en douceur, par le biais de la fiction).
Commande de notre dernier livre, Apéro saucisson-pinard (édition Xénia), 15 euros, frais de port compris, jusqu’au 31 janvier, 18 euros jusqu’au 15 mars, 21 euros après (sortie le 16 mars).
Autres ouvrages de Riposte Laïque : Les dessous du voile, La colère d’un Français, Résistance républicaine, Les Assises sur l’islamisation de nos pays : 10 € pour 1 livre, 16 € pour 2 livres, 20 € pour 3 livres (frais de port compris).
Le plus facile est de payer directement sur notre compte paypal (en haut à droite de notre site, cliquez sur « faire un don » et précisez la commande effectuée.
Sinon, merci d’envoyer les commandes accompagnées des chèques correspondants libellés à l’ordre de Riposte Laïque, BP 10001, 78570 Chanteloup-les-Vignes.
Vous pouvez aussi les commander par Amazon :
http://www.amazon.fr/Faute-du-Bobo-Jocelyn/dp/2953604235
AGENDA RIPOSTE LAIQUE
Vendredi 3 février, à partir de 13 h 30, procès de Pierre Cassen et Pascal Hilout, poursuivis par la LDH, le Mrap, la Licra et le CCIF.
Palais de justice, 4, boulevard du Palais, 75001 Paris
Vendredi 24 février, banquet républicain à Toulon, autour du livre « La faute du bobo Jocelyn ».
Jeudi 15 mars, soirée parisienne pour la sortie du livre « Apéro saucisson-pinard », de Christine Tasin, Pierre Cassen et Fabrice Robert.
Vendredi 30 mars, à Vendôme, 20 h 30, à l’invitation du Comité Vendomois de Défense de la Laïcité (CVDL). Conférence-Débat d’Anne Zelensky  : Féminisme et Laïcité, des enjeux essentiels pour la présidentielle.
Le Minotaure, 8 rue César de Vendôme, 41 – Vendôme