Il y a maintenant plusieurs mois, à Toulouse, un jeune franco-algérien, militant islamique, assassinait de sang-froid trois militaires français et quatre membres de la communauté juive, dont trois enfants, devant une école.
Depuis cet acte, nous constatons, sur le territoire français, une recrudescence inquiétante des actes antisémites. C’est tellement évident que même les responsables de la Licra, comme Alain Jakubowicz, se permettent de faire le lien entre ces violences et la quasi-automaticité de l’appartenance musulmane de ses auteurs… tout en se gardant de faire la liaison avec la réalité raciste de textes contenus dans le Coran et la finalité de l’islam.
Même Manuel Valls, avec une grande prudence, n’a pas pu ne pas s’interroger sur l’événement.
Beaucoup plus direct, le professeur Franklin n’y allait pas par quatre chemins et proposait l’expulsion de France des musulmans racistes.
Sur Radio Courtoisie, la semaine dernière, invités par Gérard Marin, Christine Tasin et Pierre Cassen évoquaient la nécessaire réintroduction de l’exil, pour bouter hors de nos frontières des citoyens français qui ne respectent pas les lois de notre pays, s’inspirant de l’ostracisme qui se pratiquait en Grèce antique.
Dans le même temps, depuis la victoire de François Hollande, et malgré la volonté des médias de noyer le poisson, nos compatriotes remarquent une accélération de l’Histoire, et une multitude de faits divers, très violents, entraînant la mort de gendarmes ou de citoyens sans défense, impliquant trop souvent des agresseurs que le journal Le Monde, se ridiculisant, prénomme Vladimir.
Ainsi, entre autres, à Neuilly-sur-Marne, deux familles, dans un pavillon, ont fait les frais de cette nouvelle situation, se faisant agresser par un groupe d’une vingtaine de racailles de la cité voisine à coups de battes de base-ball. Combien de temps nos compatriotes vont-ils supporter que cela soit trop souvent les mêmes qui agressent les leurs, et parfois les tuent ?
Les déclarations de la nouvelle Garde des Sceaux, Christiane Taubira, les mauvais messages envoyés par Manuel Valls, qui, en tant que ministre de l’Intérieur, quand il ne va pas au chevet des délinquants blessés, inaugure une mosquée à Cergy, ont été compris par ceux qu’il convient d’appeler les islamo-racailles comme autant de messages leur faisant comprendre que, désormais, en France, ils peuvent se croire tout permis, quand ils ne se prennent pas pour « les maîtres ».
Ils savent que ce gouvernement ne soutiendra pas sa police, et que les juges de notre pays, encouragés par Christiane Taubira, feront preuve à leur égard d’une mansuétude qu’ils n’ont pas pour les Français qui veulent seulement se défendre et rester vivants, les policiers de la Bac de Millau en sont le meilleur exemple.
Notre pays, et nos compatriotes, sont confrontés à une double violence, celle de l’islam et des prétendus revanchards de la colonisation, et ils ne peuvent pas compter sur ceux qui nous dirigent, qui ont été élus grâce aux voix de 93 % de musulmans, et qui multiplient la venue de nouvelles populations, dont le vote doit leur permettre de se maintenir au pouvoir.
Certes, le professeur Franklin a raison. Certes, Pierre et Christine Tasin ont raison. Mais ne faut-il pas aller encore plus loin ?
Comment, devant cette situation, ne pas réfléchir, 50 ans après l’indépendance de l’Algérie, à des solutions qui, vu la gravité de la situation, devraient être à la hauteur des enjeux ?
En effet, toute la semaine, si nous avons eu droit à de nombreuses émissions télévisées et radiophoniques, à l’occasion du 50e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, les téléspectateurs français n’auront guère eu l’occasion d’entendre la version qu’en donne Michel Ciardi, dans cette réponse qu’il a écrite, pour Riposte Laïque, au député socialiste du 93 Daniel Goldberg, qui demandait à François Hollande de présenter des excuses à l’Algérie.
Nous avons eu davantage droit à ce que l’historien Daniel Lefeuvre, interrogé par Robert Ménard, auteur du provoquant « Vive l’Algérie », appelait Radio FLN.
Or, ce qui s’est passé en Algérie il y a 50 ans devrait éclairer tout pouvoir politique désireux de changer les choses, sans esprit de revanche inutile. En 1962, de manière très violente, avec le choix entre la valise et le cercueil, plus d’un million de personnes ont dû quitter précipitamment une terre où ils avaient toujours vécu, où ils avaient leur histoire et leurs racines, pour rejoindre la France, pays où nombre d’entre eux n’avaient aucune famille, et aucun lien.
Ce n’est absolument pas le cas de millions de Français originaires d’Afrique du Nord ou d’Afrique noire, qui ont gardé des liens avec leur pays d’origine ou celui de leurs parents dont ils brandissent le drapeau en toute occasion, qui y partent souvent en vacances, et y envoient, pour nombre d’entre eux, de l’argent … tout en se plaignant, comme le relevait la remarquable Malika Sorel, de l’ingratitude du pays qui les avait accueillis !
Si elle veut sauver ses valeurs, et préserver notre modèle social et civilisationnel, notre France, et ses futurs dirigeants, ne pourront pas ne pas penser à ce qui s’est passé il y a cinquante ans, et prendre les décisions nécessaires (expulsions et exil des illégaux, des délinquants et des islamistes, mais aussi, pourquoi pas, retour au pays d’origine des chômeurs de longue durée que nous ne pouvons ni employer ni loger ) pour empêcher, grâce à une démographie favorable, notre pays de basculer, d’ici une ou deux générations, dans la domination islamiste.
C’est incontournable, à moins que nous ne voulions que nos enfants et petits-enfants ne deviennent des dhimmis sur notre territoire.
A méditer…
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