Jihad à Paris, Fourest agressée : Oriana Fallaci avait raison…

Il suffit de regarder ce qu’un film comme « L’Innocence des musulmans » provoque partout dans le monde musulman, quelques années après l’affaire des caricatures, pour se convaincre que décidément, l’islam et la démocratie sont totalement incompatibles. Des mêmes scènes d’hystérie collective où des barbares imbibés de Coran, les yeux hors de la tête, la bouche tordue par un rictus de haine, rêvent, comme leur demande leur livre sacré, d’exterminer sauvagement tout ce qui n’est pas musulman, et, comble de l’horreur, serait athée, juif ou chrétien.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=gJZF-Vvv3wg[/youtube]

http://www.youtube.com/watch?v=gJZF-Vvv3wg

Il suffit de regarder, sur cette vidéo choc de notre ami Guy Sauvage, les mêmes fanatiques, implantés sur le territoire français, qui, sur les Champs-Elysées, devant l’Elysée, près de l’ambassade américaine, rêvaient de faire subir aux impies le sort que leurs frères ont réservé à l’ambassadeur des Etats-Unis en Libye. Notre ami Guy, dont une autre vidéo, rue Myrha, avait été vue par près de 2 millions d’internautes, était au coeur de cette manifestation jihadiste, et nous propose ces images inédites. On ne peut voir pire image de la barbarie, de l’obscurantisme, et du fascisme.

Ils se permettent de venir manifester sans demander l’autorisation. Ils se permettent d’agresser les policiers, comme cela se produit de plus en plus souvent en France. A Mulhouse, ils ont même tendu une véritable souricière à un agent, et essayé, après l’avoir massacré à dix contre un, de le faire cramer dans sa voiture ! A Paris, ils se sont permis d’imposer leurs prières musulmanes sur les Champs-Elysées, montrant à une police dépassée que la seule loi qui compte pour eux est la charia, et absolument pas la loi de tous, celle de la République. Ils seront pourtant relâchés par la justice de Taubira, dans les heures qui suivront. Aucun d’entre eux ne sera expulsé, et ils pourront tout-à-fait librement continuer à prôner le jihad sur le territoire français.

Les événements de Paris, et du monde entier, depuis quelques jours, ne peuvent mieux donner raison à la clairvoyance d’Oriana Fallaci, ni mieux illustrer ses deux derniers livres.

Pendant ce temps là, à peu près à la même heure, fête de l’Humanité, notre Caroline Fourest nationale devait informer les classes populaires du pire péril fasciste qui guettait notre pays, selon elle : le Front national. Elle a été insultée, huée, menacée, par la bande des Indigènes de la République, qui l’a traité de lepéniste, de raciste et d’islamophobe, et a réussi à faire annuler son intervention. Dans une vidéo très narcissique, où elle se donne un rôle de Jeanne d’Arc luttant vaillamment contre défendre une conception laïque et féministe de la société, notre Rouletabille de la rive gauche parisienne met en ligne les images de l’agression. On y voit un curieux manège, entre trois totalitarismes de gôche. D’abord celui de la « victime », à nouveau arroseur arrosée, qui se voit attribuer, de manière honteuse, des qualificatifs injurieux, comme « raciste, fasciste », qu’elle attribue elle-même à tous ceux qui, tel des Geert Wilders, Anne Zelensky, Marine Le Pen, et bien d’autres, ont le malheur de ne pas épouser la vision du monde de la commissaire politique directrice de Prochoix et de sa compagne-gourou Fiammetta Venner, qui l’a formatée.

On y voit aussi les militants de Front de gauche qui, s’opposant aux Indigènes de la République, scandent « Liberté d’expression ». Là également, heureusement que le ridicule ne tue pas, car ce sont les mêmes, qui, en utilisant des méthodes violentes, ont agressé systématiquement, lors de la dernière campagne électorale, les distributeurs de tracts de Nicolas Dupont-Aignan, ou ceux de Marine Le Pen, quand ils ne demandaient pas l’interdiction des Assises sur l’islamisation, ne faisaient pas interdire Christine Tasin ou Pierre Cassen d’un salon littéraire, ou entendaient faire taire la vision de l’Histoire de France de Lorant Deutsch. Nous l’avouons, quand les descendants de Staline, adeptes de Mélenchon, réclament la liberté d’expression, mais seulement pour eux, nous les trouvons égaux à ce qu’ils ont toujours été : des totalitaires.

On y voit enfin la clique des Indigènes, dont les thèses racialistes sont accueillies par la gauche, sans le moindre problème. Car n’oublions pas, tout de même, que cet appel, qualifié de « raciste » par Jean-François Kahn, a reçu la signature de toute une mouvance du Parti communiste, de dirigeants de NPA, de nombre de Verts, de la porte-parole de Mélenchon en personne, Clémentine Autain, qui n’ont vu aucun problème à un texte qui remplaçait la lutte des classes, qui fait tout de même partie des fondamentaux de la gauche, par la lutte entre les enfants de colonisés et de colonisateurs. N’oublions pas que les Indigènes font leurs congrès devant la photo de Cheikh Yassine, fondateur du Hamas, dont la charte prévoit ni plus ni moins la disparition d’Israël, et surtout l’extermination de tous les Juifs. Et ajoutons que Parti de gauche, ainsi qu’une bonne partie de l’intelligentsia, soutenait Houria Bouteldja, lors du procès à Toulouse que l’Agrif lui avait intenté, pour ses propos jugés racistes sur les « sous-chiens ». De quoi donner raison aux thèses de Bat Ye’Or, qui voit dans le combat de la gauche pro-palestinienne, en Europe, contre Israël, la continuation du combat d’Hitler contre les juifs.

Ce sont donc trois mouvances totalitaires de gauche, qui manifestaient au coude-à-coude contre les Assises internationales contre l’islamisation de nos pays, qui se sont chamaillées ce samedi. Trois mouvances islamo-collabos, trois tendances qui se battent pour davantage d’immigration en France, trois sensibilités qui déroulent le tapis rouge à l’islam, et insultent grossièrement tous les résistants, tous les patriotes, qui osent essayer d’alerter l’opinion, de lui ouvrir les yeux. Là encore, cet incident donne raison à Oriana Fallaci, issue de la gauche, elle aussi, comme nombre de contributeurs de Riposte Laïque. Parlant de ses anciens compagnons de route, la journaliste écrivait, toujours dans « La force de la Raison » : « Toutefois, la plus grande faute dont la gauche se soit entachée au cours des cinquante dernières années n’est même pas celle de nous avoir privés de confiance et de respect pour la politique, de nous avoir jetés dans un désert où il ne tombe jamais une goutte d’eau et où il ne pousse jamais un brin d’herbe. C’est la faute consistant à avoir favorisé, de concert avec l’Eglise catholique et les restes du MSI, l’islamisation de l’Italie. Et il va de soi que la raison pour laquelle l’Europe est devenue une Eurabie, c’est que dans chaque pays européen, la gauche s’est comportée comme elle se comporte toujours en Italie. Maintenant, je vais te dire pourquoi ».

L’islam montre son vrai visage, partout dans le monde où il a le rapport de forces pour triompher : celui de la haine, de la violence, du meurtre, de la barbarie, et de la déstruction de tout ce qui n’est pas musulman. Il n’y a qu’un ignorant, ou un islamo-collabo, c’est selon, comme Manuel Valls pour être capable de dire, suite à la manifestation des salafistes devant l’Elysée, que cela ne montre pas la réalité de l’islam. Il est d’ailleurs révélateur que les enfumeurs habituels, présentés comme les musulmans modérés, les Chebel, Sifaoui ou autres Ben Jelloun, occupent les plateaux de télévision, la bouche en cul de poule, en nous faisant leur numéro classique : « surtout pas d’amalgame, l’islam, ce n’est pas cela ! ». Il est cocasse d’observer le silence assourdissant des prétendues organisations laïques, et des dignitaires francs-maçons. Il est par ailleurs intéressant de voir que le système a l’air ravi de considérer que celle qui doit porter le flambeau de la résistance à l’islamisme doit être Caroline Fourest, par ailleurs islamophile, européiste, mondialiste, adepte d’Eurabia et membre de la fondation Anna Lindt, créée par l’Union européenne pour favoriser Eurabia. Il est visible que des Christine Tasin, René Marchand, Wafa Sultan, Ayaan Hirsi Ali, Anne-Marie Delcambre, voire le père Samuel, ne soient pas invités, eux, pour faire entendre une autre musique, celle de la Vérité, à nos compatriotes.

Jaurès disait que « Le courage, c’était de chercher la vérité, et de la dire ». Ce courage, Oriana Fallaci l’a eu, parce qu’elle aime tripalement son pays, ses compatriotes et sa civilisation. Ce courage, Caroline Fourest et nos élites ne l’auront jamais, eux qui ne peuvent partager cet écrit de BHL, Pierre Bergé, paru dans Globe, en 1985 : «  Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, béret, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux ».

C’est ce qui sépare une grande dame de médiocres carriéristes.