A Brignoles, les Français ont fait un bras aux vrais fachos

On le sentait venir, depuis quelque temps. Il y a dans ce pays comme un petit air de 2005, au moment du référendum sur le Traité Constitutionnel Européen. On se souvient que plus la caste politico-médiatique aboyait contre les partisans du « non », plus ce dernier progressait. Cela s’était terminé par une terrible mascarade pour le PS, l’UMP, les Verts et le Modem, puisque, bien que soutenus par l’ensemble des médias, ils avaient vu 55 % des Français voter contre le TCE. Nous n’avons pas oublié que les Mélenchon et autres, tout surpris de leur victoire, n’avaient surtout pas demandé à Chirac de sortir de l’Union européenne, préparant ainsi la trahison de 2008 où, violant le vote du peuple, UMP et PS nous ont imposé Lisbonne, et ses conséquences funestes.

Huit ans après, il a suffi qu’à Brignoles, lors d’une élection partielle, le Front national arrive en tête au premier tour, et soit en passe d’être élu, pour que, toute la semaine, nous ayons eu droit, sur tous les plateaux de télévision, au rouleau compresseur « antifasciste ». C’est tellement grotesque que, pour qui connaît le côté frondeur de nos compatriotes, on pouvait être certain que, comme en 2005, les Français, exaspérés d’être pris pour des « cons », allaient, cette fois, infliger à la caste politico-médiatique le revers qu’elle méritait.

Ce fut grandiose, et ils n’ont toujours rien compris. Ils croyaient que le fait que le taux d’électeurs passe de 33 à 45 % serait fatal au candidat du FN. Tout faux, ils se prennent, malgré leur prétendu Front républicain, un 54 % dans les trous de nez !

N’en déplaise aux Mélenchon, Corbière, Boutih, Taubira, Valls, Fourest et à tous les racketteurs déguisés en antiracistes, le coup de l’extrême droite, cela ne marche plus, ou du moins plus aussi bien. Ces faussaires de l’Histoire incarnent mieux que de longs discours cette phrase de Winston Churchill : « Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes », sans oublier celle de Léo Ferré : « Le socialisme est l’antichambre du fascisme ».

Comment ne pas qualifier de fasciste l’attitude d’un Mélenchon, qui, aujourd’hui encore, regrette qu’on n’ait pas interdit le Front national… et que Charles Martel ait repoussé l’offensive des Arabes à Poitiers, en 732 ? Une fascination morbide pour le totalitarisme, et une haine d’un modèle démocratique aux racines chrétiennes qu’il rêve d’éradiquer, en bon nostalgique de Staline et en bon admirateur d’Allah.

Comment ne pas qualifier de fasciste l’attitude de son bras droit Corbière qui, après avoir voulu faire interdire les travaux de l’historien Lorant Deutsch, faire annuler les Assises de Charenton, le 18 décembre 2010, a réussi à faire pression sur le maire UMP du 16^e arrondissement parisien pour faire interdire Christine Tasin et Pierre Cassen d’un salon littéraire ? Une conception de la culture digne de Goering, une vision de la liberté d’expression digne du procureur Vichinsky.

Comment ne pas qualifier de fasciste l’attitude d’un Boutih, député socialiste, ancien président de Sos Racisme, qui, sur les plateaux de télévision, écume sa haine de la France des Trente Glorieuses, de l’Industrie et du plein emploi, faisant savoir d’un air revanchard que tout cela c’est fini. Encore plus grave, il menace de ne pas respecter le choix démocratique de nos compatriotes, évoquant à demi-mots une guerre civile contre les Français qui voteraient mal  !

Comment ne pas qualifier de fasciste l’attitude d’une Taubira, qui, non contente d’avoir imposé aux Français une loi raciste sur l’esclavage, met délibérément en danger nos compatriotes en laissant en liberté des racailles multirécidivistes, et en faisant sortir de prison des psychopathes prêts à voler, violer et assassiner ceux qui auront le malheur de les croiser ?

Comment ne pas qualifier de fasciste l’attitude d’un Manuel Valls, qui, bien que connaissant, dans les 24 heures, la réalité de l’affaire Méric, a menti aux Français, laissé se développer un mensonge d’Etat, pour procéder à des dissolutions politiques, laissant deux jeunes hommes de vingt ans en prison, quand les véritables agresseurs, les prétendus antifas, bénéficiaient d’une impunité totale. A une autre époque, en Allemagne, les nazis ont accusé les communistes d’un incendie qu’ils avaient provoqué, pour mieux justifier la répression qui a suivi…

Comment ne pas qualifier de fasciste l’attitude d’une Fourest qui, après avoir pleurniché sur une prétendue agression de six nervis fascistes qui n’ont laissé aucune trace sur son visage, après avoir attribué injustement à la France la mort de 6 millions de juifs, après avoir été condamnée suite à un livre mensonger sur Marine Le Pen, en est réduite à expliquer que le seul intégrisme religieux qui l’inquiète à ce jour est le fondamentalisme catholique ? En se joignant à ceux qui réclament un délit d’islamophobie, elle a cautionné les pires adversaires de la liberté d’expression, et donné, par haine de son pays et du catholicisme, de nouveaux gages aux vrais fascistes, les islamistes.

Comment ne pas qualifier de fasciste l’attitude des racketteurs de l’antiracisme, qui, dans des pratiques dignes des pires régimes totalitaires, se permettent d’interdire toute parole libre, vont jusqu’à traîner devant les tribunaux Manuel Valls aujourd’hui (juste retour des choses pour cet arroseur arrosé), comme ils ont traîné hier Hortefeux et Guéant, mais aussi Eric Zemmour, Brigitte Bardot, Michel Houellebecq, et nos amis Pascal, Christine, Jacques, Pierre, Fanny et combien d’autres ? Et comme si cela ne suffisait pas, ils se réunissent à sept, et proclament la Patrie en danger de racisme !

Qualifié également « d’extrême droite » par le journal L’Humanité, Riposte Laïque, par la plume de Lucette Jeanpierre, avait fait une cinglante mise au point, avec des références historiques qui avaient cloué le bec aux descendants de Staline.

http://ripostelaique.com/qui-de-riposte-laique-ou-de-lhumanite-est-le-plus-proche-de-lextreme-droite.html

Quiconque assiste aux débats télévisés voit bien que Marine Le Pen et Florian Philippot, quelles que soient les divergences qu’on puisse avoir avec eux, n’ont absolument aucune parole fasciste, aucun propos raciste, aucune démarche liberticide. Face aux roquets haineux qui leur font face, chacun constate qu’ils constituent aujourd’hui le seul discours alternatif crédible au mondialisme, à l’Union européenne, à l’immigration, à l’islamisation et à l’insécurité qui pourrissent la vie quotidienne de nos compatriotes, et menacent gravement notre modèle civilisationnel.

[youtube]fRIE4zD8JxA[/youtube]

https://www.youtube.com/watch?v=fRIE4zD8JxA

Quiconque a assisté au débat, à Montreux, entre Hani Ramadan et Pierre Cassen, constate que le discours de notre fondateur est authentiquement antifasciste. Il défend avec fougue la liberté de conscience, la liberté d’expression, l’égalité des hommes et des femmes, le droit de croire ou de ne pas croire, la liberté artistique, le droit d’aimer la personne de son choix, le refus de toute société totalitaire, bref, toute la beauté de notre modèle occidental… Tout le contraire de ce qu’incarne Hani Ramadan, qui, s’il en avait les moyens, imposerait une société théocratique que ses paroles appellent de leurs vœux ! Là encore, remarquons que pas une seule bonne âme de gôche, qui glapit au « fââââscisme » supposé du Front national ou de RL, n’a un mot contre les fascistes islamiques, qui se distinguent en ce moment, sur le territoire français, en imposant, avec la complicité des autorités, leur barbare fête de l’Aïd, en présence de jeunes enfants (habitués ainsi au rite musulman de l’égorgement dès leur plus jeune âge), au mépris, par ailleurs, des règles d’hygiène et du respect de l’animal.

Les choses sont pourtant fort simples, et les Français le constatent quotidiennement. Les valets du système, qu’ils soient politiciens, journaleux, sociologues, experts bidons et autres parasites, voient leur modèle de société multiculturelle exploser. Hollande, fidèle larbin des autorités européennes, fait les poches des Français. Le FMI suggère de taxer 10 % de notre épargne. Valls, qui essaie de se refaire une santé sur les roms, multiplie les naturalisations, et n’expulse plus un clandestin. Nos compatriotes voient se multiplier à leur encontre, à cause de Taubira, agressions, cambriolages et parfois assassinats, le plus souvent commis par de nouveaux venus. En toute logique, malgré une diabolisation de trente ans, ils se tournent de plus en plus massivement vers le seul parti qui, quelles que soient ses imperfections, incarne une alternative à trente ans de destruction de nos valeurs.

Fidèles défenseurs de l’ordre mondialiste, les vrais fascistes, ennemis du peuple, qui, comme Cohn Bendit, demandaient aux Suisses de revoter, qui, comme Mélenchon, Corbière, Boutih, Taubira, Valls, Jakubowicz, entendent interdire toute opinion différente de la leur, sont prêts à déclencher une guerre civile, tournée contre le peuple de France, s’il continue à mal voter, comme hier à Brignoles.

Les masques tombent, on voit de plus en plus clairement qui sont les vrais fascistes, grassement arrosés par le système. C’est tant mieux. Le vote de Brignoles est une première victoire. Mais il va falloir que nos compatriotes sachent s’organiser, pour empêcher les apprentis putschistes à la Boutih, les islamo-racailles, les prétendus antifas et les faux antiracistes de continuer à semer la terreur intellectuelle et physique dans notre pays.

Il en va de l’avenir de notre France et de celle de la souveraineté populaire.

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