Les collabos mobilisés pour imposer les crimes de l’islam aux Français

ISLAM-ASSASSIN0001.jpg

On se croirait revenus au lendemain des assassinats de Charlie Hebdo. La décapitation, en pleine rue, d’un enseignant, à Conflans-Sainte-Honorine, provoque une grosse émotion en France. Le contexte est explosif. L’ensauvagement du pays est tel que même s’ils cherchent à dissimuler la réalité de la situation, les journaleux et les politicards ne peuvent plus cacher aux Français que tous les jours, il y a des morts, des blessés, des agressés, des violées, et que ce sont, à 99 %, des victimes gauloises, et des agresseurs de la diversité.

Il y a 3 ans, aux Assises des 10 ans de Riposte Laïque, Tatjana Festerling, ancienne présidente de Pegida, expliquait cette situation avec ces mots :

Les politiciens ont créé une caste pour eux-mêmes : la caste élitiste et narcissique des Protégés. Avec des voitures blindées, une protection personnalisée et un personnel pléthorique qui s’occupe de la sécurité et prête attention aux détails.

Ce sont là des symboles du pouvoir. Symboles de délimitation et de distance. Symbole du mépris. Oui, l’Europe occidentale a un système de castes.

La caste des sans-protection va diligemment au travail et, en chemin, dans les stations de métro, elle est poussée dans les escaliers, massacrée ou jetée sous les trains.
Les personnes sans protection font la queue aux supermarchés et se font poignarder. Les filles des sans-protection sont harcelées, tripotées et violées.
Les fils des non-protégés sont rackettés, battus et humiliés.
Les non-protégés se baladent sur des zones piétonnes d’Europe avec leurs familles et sont fauchés par des terroristes au volant de véhicules et de camions.

Nous autres militants et dissidents, nous appartenons aussi à la caste des sans-protection. En Allemagne, une sentence contre une critique de l’islam vient de tomber : 6 mois de prison avec sursis pour avoir osé comparer l’islam au national-socialisme. (http://www.pi-news.net/das-skandal-urteilvon-muenchen-ist-ein-rechtsbruch/).

J’appelle cela « Guerre ». C’est une guerre contre ses propres compatriotes. C’est une guerre profondément raciste. Contre les Français, contre les Allemands, contre les Européens. Et quand on voit que les Américains et les Australiens luttent aussi contre des gauchistes, c’est aussi une guerre contre l’homme blanc.

Tout est dit, et confirme la violence quotidienne subie par les Français, dans l’indifférence de cette caste, que Donald Trump appelle l’État profond, constituée des politiques, des journalistes, des juges, des artistes et des financiers.

Cette décapitation tombe donc mal pour le régime, car elle donne raison à ceux qui dénoncent la situation, même si elle fait momentanément oublier le scandaleux couvre-feu décidé par Macron.

Il leur faut donc, par tous les moyens de propagande dont ils disposent, éviter que les Français ne fassent la liaison entre l’immigration, l’insécurité et l’islam. Depuis vendredi soir, comme au lendemain de Charlie, la caste des collabos qui squattent les plateaux de télévision est mobilisée pour cela. Et des fois que cela ne suffise pas, nous avons assisté, cet après-midi, à ce spectacle grotesque de voir tous les islamo-fellateurs qui avaient marché avec les islamistes, contre l’islamophobie, en novembre 2019, manifester « contre la haine, pour la liberté d’expression » en réussissant l’exploit de ne jamais citer les mots « musulmans » et « islam ».

Paris : plusieurs milliers de personnes rassemblées pour rendre hommage à Samuel Paty

La veille, de manière complémentaire, les mêmes manifestaient pour la régularisation de tous les sans-papiers, majoritairement musulmans, ne pouvant ignorer qu’une partie d’entre eux renforcerait la cinquième colonne de l’islam, et participerait à de nouvelles agressions, peut-être davantage, contre nos compatriotes.

Ils sont bien rares ceux qui, tel Céline Pina, ont refusé de se prêter à cette mascarade, organisée par les syndicats enseignants islamo-collabos, qui ont osé donné la parole à l’Unef, suscitant quelques réactions dans le public…

Céline Pina : “Je ne serai pas au rassemblement place de la République aujourd’hui. Je n’irai pas valser au bal des hypocrites”

Ne reculant devant aucun ridicule, les maîtres censeurs qui traînent devant les tribunaux Éric Zemmour, notre mouvance, les Soral-Ryssen, Renaud Camus, Valeurs Actuelles et tant d’autres affirment donc qu’elle défend la liberté d’expression, et encourage l’esprit critique des professeurs ! Ces personnes qui, majoritairement de gauche bien-pensante, parfois gauchistes, lavent le cerveau de nos enfants sur le réchauffement climatique, les bienfaits de l’accueil de l’autre, sans oublier l’islam, religion RATP ! On comprend le coup de gueule de François Galvaire, surnommé Batdaf, qui ne paraît pas décidé à trop compatir au sort de cette profession, même s’il y existe des enseignants courageux ! Mais faut-il rappeler que seulement 7 % d’entre eux ont voté Marine en 2017 !

Et il leur faut sauver leur politique d’islam de France, en insistant sur le fait que l’islam serait une religion de paix, qui n’aurait rien à voir avec l’islamisme, qui serait très minoritaire chez les musulmans. Dans un débat avec Éric Zemmour, où il a été malmené pour son discours d’intellectuel totalement déconnecté du réel, Jean-Pierre Chevènement osait parler d’islam des Lumières. Toute la classe politique, même le RN, relaie ce mensonge d’État, par soumission à la doctrine de l’islam. Notre fondateur, de manière assez crue, expliquait que ceux qui disent « islamisme » sont des idiots ou des traîtres.

Force est de constater que, mis à part notre mouvance et nos amis, seul Éric Zemmour a osé franchir ce Rubicon et ne jamais tomber dans la facilité. On se souvient du discours désespérant de Marine Le Pen, considérant l’islam compatible avec la République, et avec la France. Dans ce contexte, on ne pourra que se réjouir des derniers propos de Jean Messiha, qui déclare qu’il refuse  dorénavant de se plier à ce jeu et qu’il emploiera désormais le mot « islam ». Pourvu qu’il tienne bon, et qu’il fasse de nombreux adeptes au RN.

Quant à nous, dussions-nous à nouveau subir les foudres des tribunaux, nous continuerons à écrire et à dire ce que nous proclamons depuis plus de dix ans. L’islam est incompatible avec la France, il faut en interdire toute visibilité et sa pratique sur notre territoire, et expulser massivement les soldats d’Allah. Et, après chaque crime commis en son nom, malgré les menaces judiciaires brandies par les collabos, nous crierons « islam assassin, islam dehors, collabos complices ».

D’abord que c’est vrai, et que les faits le montrent tragiquement davantage, chaque jour qui passe.

Ensuite parce qu’il faut que les Français arrêtent d’élire des collabos qui leur imposent invasion migratoire et islamisation de notre pays.

Enfin, parce que la seule chance de sauver la France est d’éradiquer l’islam de notre sol et de virer ses soldats.

Quant aux collabos qui voudraient nous faire un nouveau procès pour ces propos, nous leur rappelons qu’ils manifestaient cet après-midi en défense de la liberté d’expression, et que Jaurès disait : « Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ».

 

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*