Macron : quatre années consacrées à la destruction de la France

Voici donc le 23e livre des Éditions de Riposte Laïque. Il sort à pic, entre les propos du président de la République, appelant à la déconstruction de l’Histoire de France, et l’égorgement de la policière de Rambouillet, Stéphanie, nouvel acte de djihad qui frappe la France et les Français, avec la complicité criminelle du chef de l’État.

Sollicité pour écrire la préface, notre fondateur, Pierre Cassen, s’est exécuté de bonne grâce, et, en outre, il a consacré sa vidéo du jour à parler de ce livre, et à encourager nos lecteurs à l’acheter massivement, à le faire connaître, tant il constitue, à notre connaissance, le pire réquisitoire jamais lu contre Macron.

Les éditions Riposte Laïque ont voulu faire un tarif attractif : 14 euros pour 1 livre, 20 euros pour 2 livres, 25 euros pour 3 livres. En outre, nos lecteurs qui commanderont 3 livres pourront en avoir gratuitement un quatrième, de leur choix.


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Chèques à adresser à Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors

C’était il y a quatre ans déjà. Le 23 avril 2017, le doute n’était plus permis, Emmanuel Macron avait gagné son pari, il allait être le successeur du calamiteux François Hollande. Au second tour, il allait devoir affronter l’adversaire qui rendait inévitable sa victoire, Marine Le Pen. Quarante ans de diabolisation du parti et du nom laissent forcément des traces. Le débat entre les deux tours, qui fut un échec pour la candidate du Front national, allait rendre encore plus nette une victoire, le 7 mai, qui ne faisait plus de doute pour personne depuis deux semaines.

Que de chemin parcouru quand, le 30 août 2016, il quittait le ministère des Finances pour, disait-il, transformer la France. Il créa son mouvement « En Marche », et personne ne voulut remarquer que cela rappelait les heures les plus sombres de notre Histoire – comme disent nos adversaires – puisqu’il s’agissait d’un slogan de Mussolini, qui incarne le fascisme honni. Tout fut donc mis en place pour favoriser sa course à l’Élysée, et, comme pour Strauss-Kahn en 2011, journalistes et communicants furent mobilisés pour vendre au mieux le produit Emmanuel, et le couple iconoclaste qu’il formait avec Brigitte, plus âgée que lui de 24 ans. Mais cette fois, il n’y eut pas d’épisode malencontreux dans un hôtel américain avec une femme de couleur. D’ailleurs, Emmanuel Macron paraît le seul président de la République, depuis Georges Pompidou, à qui on ne connaît pas de maîtresse.

Ils mirent donc le paquet. Pas une semaine sans des couvertures médiatiques, sans passage sur les plateaux de télévision, avec des interviews très complaisantes. Elles tranchaient avec l’agressivité des chroniqueurs à l’encontre de Marine Le Pen et de son porte-parole de l’époque, Florian Philippot.

Curieusement, Jean-Luc Mélenchon fut énormément ménagé par les médias, qui savaient que son rôle était de conserver un électorat traditionnellement acquis à la gauche, pour éviter, comme à l’époque de la fin du Parti communiste, que de plus en plus de citoyens, écœurés par les trahisons de tous les partis, ne rejoignent le Front national. Le chef des Insoumis réussit un score inespéré, pour qui connaît la réalité de son programme, et ne manqua le deuxième tour, à son grand dam, que de 600.000 voix. Il est vrai qu’il avait eu l’intelligence de mettre en sourdine ses positions sur l’immigration, ou sur l’islam.

Nul ne pouvait ignorer, quand il écoutait bien les discours de Macron, tenus à Alger ou à Marseille, que la France et les Français n’étaient pas la priorité du candidat de La République en Marche. Nul ne pouvait ne pas avoir remarqué qu’il était le représentant des mondialistes, la parfaite synthèse de la droite du Parti socialiste et de la gauche des Républicains, et finalement de l’ensemble de ces deux partis, qu’on appelait, avant qu’Emmanuel Macron ne récupère tout ce beau monde, l’UMPS. Et la bande des Quatre, du temps de Jean-Marie Le Pen.
Lors des primaires de la droite, la nette défaite, qui prit de court les médias, d’Alain Juppé – que tout le monde voyait déjà à l’Élysée – lui dégagea définitivement l’espace. Il commença à grimper dans les sondages, suite à l’appui de François Bayrou, qui lui apportera de précieux points dans les estimations, lui permettant de décoller et de dépasser Marine Le Pen, longtemps pointée en tête pour le premier tour.
Les malheurs de François Fillon, torpillé par les juges et les journalistes du Canard Enchaîné, lui faciliteront grandement la mise, et priveront le vainqueur de la primaire d’un poste de président de la République qui lui paraissait acquis.

Les Français en avaient marre d’une alternance gauche-droite sans alternative, ils ne voulaient plus du PS, et pas davantage des LR. Sentant le risque d’un basculement important de l’électorat vers le populisme, Emmanuel Macron et ses soutiens avaient parfaitement réussi, par la jeunesse et le style particulier du candidat, à canaliser ce mécontentement, laissant croire que la politique des partis traditionnels était terminée, et qu’il allait renverser la table. Une génération de jeunes loups aux dents longues – dont beaucoup faisaient partie de l’équipe de Dominique Strauss-Kahn – qui en avaient marre d’attendre que les anciens dégagent pour prendre la place, sautera dans le train en marche, et prendra les places disponibles, rajeunissant le personnel politique, sans changer grand chose, par ailleurs, du contenu des discours et des pratiques politiciennes.

Les médias de la réinformation alertèrent pourtant les Français sur les dessous de cette candidature, ses soutiens de l’oligarchie, ses curieux financements, les propos scandaleux qu’il tenait sur l’absence de culture française, ses paroles méprisantes pour les ouvrières, illettrées, ou les Français, tantôt Gaulois réfractaires, tantôt alcooliques. Mais contrairement à Donald Trump, qui, aux États-Unis, avait gagné contre les médias, grâce aux réseaux sociaux, contrairement à Brexit, qui surprit les tenants du Nouvel Ordre Mondial, cette fois, la force de la réinformation ne fut pas suffisante, face au rouleau compresseur des médias traditionnels, par ailleurs gavés de subventions, et à la partialité aveuglante des journalistes les plus célèbres.

Macron pouvait donc se vanter d’une affaire rondement menée, d’une parfaite réussite de son plan, même si certains, comme Éric Zemmour, parleront d’un coup d’État judiciaire et médiatique pour caractériser tout ce qui a précédé cette victoire.
À moins de 40 ans, il devint donc, le 7 mai 2017, le plus jeune Président de l’Histoire de France. Cela fait donc quatre années, une olympiade.

C’est un premier bilan, en forme de réquisitoire impitoyable, que Jacques Guillemain, contributeur à Riposte Laïque, où il a déjà signé plus de 1 600 articles, a voulu dresser. Avec cet auteur, pas de grandes envolées littéraires, pas de longues phrases, seulement des faits, des chiffres, des constats, et des conclusions, toutes plus accablantes les unes que les autres pour ce régime, et celui qui le dirige.
Les Français se disaient qu’après Chirac, on ne pourrait pas trouver pire. Puis il y eut Sarkozy, qui fit pire que Chirac. Puis il y eut Hollande, qui fit pire que Sarkozy. Et à présent, il y a Macron, qui, dans la destruction de la France, fait pire que son prédécesseur.

Petit coq arrogant se croyant le maître du monde, propice à donner des leçons au monde entier, quand il laisse son pays se déliter tous les jours un peu plus, il devint rapidement le fer de lance des mondialistes, mais aussi la risée du monde. Il multiplia les attaques grotesques contre Donald Trump, sa bête noire, coupable de réussir tout ce qu’il entreprenait, quand Macron échouait sur tout. Excédé, le Président américain, à qui on vola grossièrement une victoire éclatante, finit par dire que « Tout ce que touche Macron devient de la merde ». C’est féroce, mais tellement bien résumé.

Successivement, tel un roquet, il voulut mordre les mollets de Jaïr Bolsonaro, Viktor Orban, Alexandre Loukachenko, Vladimir Poutine, Matteo Salvini, des dirigeants de Visegrad et de tous ceux qui refuseront les diktats de Soros, de l’Union européenne et des mondialistes. Par contre, quand les dirigeants algériens, ou l’islamiste turc insultent régulièrement la France, on ne retrouve pas, chez Macron, l’arrogance et la virulence qu’il utilise contre les dirigeants patriotes.

Il osa reprocher aux dirigeants populistes européens de bafouer les Droits de l’Homme ou les valeurs de l’Europe, parce qu’ils ne voulaient pas de l’immigration africaine que l’Union européenne entend imposer à tous les pays. Car pour Macron et les siens, défendre son pays, ses frontières, son identité et sa civilisation est un crime. Pourtant, dans ces pays de l’Est, combattus par Macron, qui réclame régulièrement à l’Union européenne des sanctions contre eux, pas d’explosion de la délinquance, pas d’attentats islamistes, pas d’explosion du nombre de viols et d’agressions gratuites, pas de cambriolages, pas d’égorgements quotidiens…

Pour empêcher les populistes de progresser, tous les réseaux sociaux seront mobilisés, pour appliquer, encouragés par le pouvoir français, une censure digne de la dictature communiste chinoise. Ils commencèrent par une loi contre ce qu’ils appellent les « fake news », et voulurent imposer la liberticide loi Avia. Retoquée par le Conseil constitutionnel, elle pourrait revenir par l’Union européenne.

Bien sûr, les deux dossiers les plus importants, ceux qui accélèrent la destruction de la France, sont l’invasion migratoire, majoritairement musulmane et africaine, et l’islamisation de notre pays, favorisée par cette submersion. Les chiffres que cite l’auteur donnent le vertige, tant la destruction de la France, avec le pire de ses fossoyeurs, s’est accélérée, depuis le 7 mai 2017, à une vitesse vertigineuse.
Mais s’il n’y avait que cela. Notre armée est humiliée par le chef de l’État, qui ne lui donne plus les moyens de faire face aux opérations extérieures qu’on exige d’elle.

Ancien lieutenant-colonel de l’armée de l’air, Jacques Guillemain est naturellement plus sensible que la majorité de nos compatriotes à ce délabrement qu’il démontre de manière accablante pour Macron et son gouvernement, qui préfèrent dilapider les ressources du pays dans le social, souvent au service des étrangers, plutôt que dans la Défense nationale.
Que dire du bradage du nucléaire, sous la pression des dangereux fanatiques écologistes, que certains n’hésitent pas à surnommer les Khmers verts ? Ce sont naturellement les Français qui vont en payer le prix fort, en voyant leur facture progresser bien plus rapidement que les salaires. Avec, à l’arrivée, toujours davantage d’éoliennes, qui dénaturent nos si beaux paysages, et bientôt, comme en Allemagne, la réouverture des centrales à charbon, si écologiques.

Passionné d’Histoire de France, l’auteur ne pouvait rester silencieux devant la commémoration, sans l’armée française, du centenaire de la guerre de 1914-1918, où des discours pacifistes relativisèrent le sacrifice de nos Poilus. Il est vrai que François Hollande avait fait courir, pour le centenaire de la bataille de Verdun, des jeunes Allemands et Français au milieu des tombes, et qu’il avait essayé de faire chanter un rappeur raciste, Black M, pour honorer nos Poilus ! Jacques Guillemain ne pouvait également que s’indigner des tergiversations qui viennent de marquer le bicentenaire de la mort de Napoléon, pour lequel il ne cache pas une grande admiration.

Sensible à l’image de la France dans le monde, il ne put qu’être horrifié par ces images dégradantes, pour notre pays, du chef de l’État, lors de la fête de la Musique et le voyage à Saint-Martin. Que dire du scandale Benalla, qui révéla la place prise par des réseaux mafieux privés dans la sécurité de l’État, au détriment des forces de l’ordre habituelles, humiliées et négligées par le Président.

La violence de la répression contre les Gilets jaunes, les manipulations de Macron, qui fit campagne pendant trois mois sur l’ensemble des médias, par ailleurs bien hostiles à un mouvement populaire de la France profonde, ne sera pas oubliée par les Français.

La tolérance pour les casseurs d’extrême gauche et les racailles de banlieue, quand les patriotes sont traînés au tribunal, sévèrement condamnés, quand Darmanin se permet de demander la dissolution de Génération Identitaire, renforcera la conviction de ceux qui pensent qu’il n’y a plus de justice équitable en France, mais des juges politisés, qui, trop souvent, vont dans le sens voulu par le pouvoir. Quant à la police, sous Macron, elle en est réduite à verbaliser les Français sans masque, mais à demeurer impuissante, faute de moyens et d’ordres précis, devant les dealers et les racailles qui multiplient les agressions à son encontre, en toute impunité.

Avec la nomination de Dupond-Moretti comme garde des Sceaux, les islamo-racailles ont compris le message : les violences, véritables répétitions de scènes de djihad, se multiplient, pendant que les prisonniers ovationnent le nouveau ministre de la Justice, quand il visite une prison.

Bien évidemment, alors que ce livre se finalise durant le troisième confinement, la question de la gestion catastrophique de la crise sanitaire ne pouvait qu’occuper une bonne place, sur la fin de l’ouvrage. Bien sûr, au-delà de ces approximations, le chef de l’État se mit à la remorque de l’Union européenne pour que la France s’approvisionne en médicaments ou en vaccins, avec le résultat qu’on connaît. Il utilisa donc sans vergogne un virus pour accélérer le projet fédéral de l’Union européenne, bafouant le peu de souveraineté qu’il restait à la France. Et il laissa le Conseil de l’Ordre, et son ministre de la Santé, multiplier les attaques contre les professeurs Raoult et Perronne, fers de lance d’une politique alternative du traitement, peu onéreux, que les médecins de plateaux et les laboratoires pharmaceutiques ne souhaitaient visiblement pas voir mise en place, pour des raisons mercantiles qui n’échapperont pas aux plus lucides.

Tout au long de ces pages, qui défilent comme un cauchemar sans fin pour les Français amoureux de leur pays, on découvre l’ampleur de la destruction opérée par Macron, durant ces quatre années. En effet, bien d’autres exemples sont abordés, pour mesurer l’ampleur du désastre. Et chacun sait qu’il lui reste encore un an pour aggraver la situation.

En tout cas, en quatre années, l’auteur, et les Français, n’auront pas vu une seule décision prise par ce Président qui sera favorable à notre pays et à ses habitants d’origine. Macron, c’est l’incarnation du mot d’ordre « Les autres avant les nôtres ».
Reste à savoir si, tel un Hollande, il sera tellement rejeté des Français que sa candidature, en 2022, ne pourra plus être envisagée, et qu’il faudra un autre candidat, pour assurer la relève… comme le fit Emmanuel Macron en 2017.

Les lecteurs habituels de Riposte Laïque savent que Jacques Guillemain développe parfois, dans ses écrits, des thèses qui ne sont pas celles de l’ensemble de la rédaction, mais qui alimentent, en toute fraternité, des débats toujours menés dans le respect. Ils retrouveront donc dans ce livre certaines approches qu’ils ne partageront pas toutes avec l’auteur. Mais là n’est pas l’essentiel.

Comme le dit avec talent Éric Zemmour, tous les soirs, sur CNews, la France est en péril de mort, et tout doit être fait pour la sauver. L’échéance de 2022 est bien sûr incontournable, pour l’ensemble des patriotes. L’auteur, malgré parfois des articles critiques sur la présidente du RN, se veut pragmatique, et, à un an de la présidentielle, estime que seule Marine Le Pen peut encore, en gagnant les présidentielles de 2022, sauver la France du cancer mondialiste qui la ronge.

Reste une question, à l’issue de ce livre, que se poseront de nombreux lecteurs : Macron est-il le fossoyeur de la France par incompétence, ou bien la destruction de notre pays fait-elle partie du mandat qu’il a reçu de la part de toutes les forces qui l’ont soutenu ?

Chacun a sa petite idée sur la question…

Les éditions Riposte Laïque ont voulu faire un tarif attractif : 14 euros pour 1 livre, 20 euros pour 2 livres, 25 euros pour 3 livres. En outre, nos lecteurs qui commanderont 3 livres pourront en avoir gratuitement un quatrième, de leur choix.


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