
Nous sommes dans une période où les masques tombent. Celui de la CEDH, qui, en confirmant la condamnation d’Éric Zemmour par les instances françaises, confirment que la pression des associations musulmanes, relayée par les mondialistes de Soros, qui font la loi dans cette instance, est assez forte pour mettre à bas la liberté d’expression, dans le pays de Voltaire, quand il s’agit de l’islam et des musulmans.
Le masque de la Grande Mosquée tombe à nouveau, pour les candides qui croyaient à la belle histoire des musulmans modérés, incarnés d’abord par Dalil Boubakeur, qui, aujourd’hui, paraît totalement gâteux, et par son successeur, Chems Hafiz. Après avoir plaidé contre Charlie Hebdo en 2006, alors qu’il était avocat du CCIF, le nouveau recteur de la Mosquée se permet de poursuivre Michel Houellebecq, coupable d’avoir dit, avec des mots simples, que les Français seraient ravis que nombre de musulmans hostiles à nos valeurs dégagent de notre pays. Caricature de l’inversion accusatoire, les chefs dont le dogme religieux multiplie, en France et dans le monde, attentats, assassinats, émeutes, menaces et viols, se permettent de jouer les pleureuses, et de se dire menacés par les propos d’un écrivain.
Le masque de CNews, mais aussi de l’ensemble du système médiatique français, tombe également, suite aux propos du sociétaire de l’émission de Pascal Praud, Jean-Claude Dassier. Certes, la chaîne est ciblée par le système Macron, qui lui a déjà infligé 200 000 euros d’amende, via le CSA, suite à des propos d’Éric Zemmour. Le toxico député Insoumis pas fini Louis Boyard a promis une commission d’enquête sur le rôle de la chaîne, accusée par les collabos de véhiculer la haine. On peut comprendre que le contexte est difficile. Mais la manière dont CNews a lâché son collaborateur, qui a juste proféré une évidence, affirmant que les musulmans n’en ont rien à foutre de la République, et qu’ils ne savent même pas ce que c’est – ce qui est vrai dans une grande partie des cas, même si, heureusement, il y a des exceptions – n’est guère rassurante.
C’est dans ce contexte qu’on voit, à Mantes-là-Jolie, le scénario annoncé par Michel Houellebecq dans son livre « Soumission » se mettre en place. Dans le rôle des soumis collabos, deux rares spécimen, Pierre Bédier, président du département, malgré de nombreux soucis judiciaires, et le préfet Jean-Jacques Brot. L’un comme l’autre (voir les liens ci-dessous) se sont régulièrement distingués, dans l’exercice de leurs fonctions, par des prises de position toujours favorables au communautarisme musulman, et toujours hostiles à ceux qui essaient de résister à l’islamisation de notre pays.
Concernant Pierre Bédier, son clientélisme avec les musulmans locaux n’est plus à démontrer, et même d’autres élus du département tirent le signal d’alarme. Ce que Riposte Laïque dénonçait dès 2008. Un imam, à Mantes, raconte aux siens, avant chaque élection : « Chaque voix pour Pierre Bédier, c’est une pierre de plus pour la mosquée ».
Bédier joue l'Arabie saoudite pour garder Mantes-la-Jolie à l'UMP
La gauche mantoise préfère les communautaristes et les islamistes aux laïques et aux républicains
Quant au préfet Brot, le moins qu’on puisse dire est qu’il se complète parfaitement avec Pierre Bédier. Dès qu’il s’agit de défendre l’islam, il répond présent, quitte à choisir l’islamiste maire de Trappes contre le courageux professeur de philosophie Didier Lemaire. Sans oublier de déposer plainte contre Jean Messiha, ce qui ne peut nuire à la carrière d’un préfet sous Macron. Naturellement, dès qu’il s’agit de moucharder une « islamophobe » au Parquet, le vaillant préfet Brot répond présent.
Le préfet Brot préfère collaborer avec Ali Rabeh que soutenir Didier Lemaire
Le préfet Brot décore le président de l’association islamique de Versailles
Le préfet Brot préfère traquer les évangéliques que les islamistes
Pas de protection pour Messiha, mais une plainte du préfet Brot pour diffamation !
Arnaud Péricard et le préfet Brot mouchardent une élue « anti-islam » au Parquet
Ce sont donc ces deux spécimen, sans surprise, qui, dans la nuit de la Saint-Sylvestre, se sont rendus complices, malgré leurs fonctions, d’un viol contre la République. Ils ont cautionné le fait que des mosquées, dans le Mantois, se permettent de se substituer aux forces de l’ordre, pour faire régner, lors la nuit du Nouvel l’An, l’ordre. Mais de quel ordre s’agit-il, de l’ordre républicain ou de l’ordre islamique ?
En 2015, après les attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan, dans un registre semblable, des musulmans avaient assuré la sécurité des catholiques, lors de la messe de minuit, devant la cathédrale de Béziers. A l’époque, cela avait indigné Robert Ménard, c’était avant qu’il ne devienne macrono-compatible.
Inacceptable : une garde musulmane pour protéger la messe de minuit !
En 2022, en acceptant de cautionner ce détournement de l’ordre républicain et des fonctions régaliennes de l’État par des représentants religieux, ces deux représentants de l’État français ont trahi les fondamentaux des lois de notre pays, et notamment les principes laïques.
Chacun à leur niveau, Pierre Bédier et Jean-Jacques Brot incarnent l’esprit de « Soumission », le livre de Michel Houellebecq.
Le seul problème, c’est que dans la France de Macron, c’est Michel Houellebecq qui va se retrouver devant la 17e Chambre, et que Bédier et Brot continueront en toute impunité à accélérer l’islamisation de la France.
Soyez le premier à commenter