L’aveuglante complicité de Macron, de Mélenchon et des antifas

Il se passe des choses extraordinaires, dans notre pays la France. On a bien compris que ce mardi 31 janvier, c’est la mobilisation générale de toute la gauche, syndicats et Nupes en tête, contre le projet de réforme des retraites, défendu par Élisabeth Borne, et revendiqué par Macron lors des présidentielles et des législatives.

On a bien compris que ces syndicats, et tous les partis de gauche, ont appelé, malgré tout, à voter Macron, en toute connaissance de cause, aux présidentielles et aux législatives.

Cerise sur le gâteau, ce dimanche 29 janvier, les dirigeants de la Nupes appellent à voter LREM, pour barrer la route au RN lors d’une législative partielle dans la Marne. Juste renvoi d’ascenseur, dans le Nord, les dirigeants de LREM appellent à voter Nupes pour barrer la route au RN. Et toujours petits services entre amis, ce 31 janvier, les syndicats et les partis de gauche, pour le plus grand plaisir de Macron et de Borne, ont fait savoir qu’ils casseraient la gueule des militants du RN (même s’ils ont dit les choses autrement) s’il leur venait la fantaisie de venir manifester contre la réforme des retraites, que les députés RN combattent à l’Assemblée.

Dans le même temps, et toujours pour le plus grand bonheur de Macron, les guignols de Mélenchon, derrière le dealer Louis Boyard, lancent une commission parlementaire contre CNews, le seul journal pluraliste parmi les grands médias. Et bien évidemment, le confidentiel Politis, soutenu par la clique de Plenel et tous les islamo-gauchistes, insulte grossièrement, les qualifiant de racailles, cinq éditorialistes vedettes de la chaîne de Vincent Bolloré.

Un autre pantin de la Nupes, Thomas Portes, élu dans le 93, décide, lui, de lancer une commission parlementaire pour lutter contre les violences supposées de l’extrême droite. Par contre, pas un mot contre ses électeurs maghrébins et musulmans, responsables, selon un membre d’une association juive contre l’antisémitisme, de 100 % des agressions racistes subies par sa communauté.

Dans le même esprit, un obscur enseignant en université, l’Insoumis François Lafon, dans un cours, devant des élèves, appelle à abattre comme des bêtes les 2 millions d’électeurs qui ont voté Zemmour. Aucune réaction, à cette heure, du pouvoir macronien et du ministre de l’Enseignement supérieur.

Depuis l’abandon du projet Horizon de Callac, la gauche pleurniche, mais revancharde, glapit contre les supposées violences et menaces menées par les animateurs du combat victorieux. Les élus, sans jamais rien prouver, inventent de soi-disant menaces et intimidations, et on a droit, dans les médias, à des dizaines d’articles expliquant que la démocratie a perdu contre le fascisme, rien de moins. Bien évidemment, dans ce climat, les vœux de Callac ont été troublés par les antifas locaux, qui entendaient interdire à Danielle Le Men, présidente des « Amis de Callac et des environs », et Callacoise de toujours, d’être présente  aux vœux du maire. En toute impunité, ces nervis du régime ont donc voulu l’empêcher de rentrer, et une bousculade a eu lieu, avec intervention des gendarmes locaux. Bilan : un blessé chez les forces de l’ordre, une voiture de gendarmerie taguée, et deux arrestations.

La semaine précédente, à Lyon, ces mêmes antifas avaient décidé, là encore en toute impunité, que l’association « Les Masques Blancs », qui dénoncent la politique sanitaire menée depuis près de trois ans, et ses conséquences graves pour les citoyens, n’avait pas le droit de défendre ses idées : militantes agressées, et destruction du matériel militant. Pour le plus grand bonheur de Macron et de ses amis les grands laboratoires pharmaceutiques.

Cerise sur la gâteau, pour le plus grand plaisir de toute la  gauche politique et associative, le régime met en place, demain, une grande messe antiraciste, à l’Institut du Monde Arabe, pour préparer un grand plan national de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les discriminations liées à l’origine, applicable de 2023 à 2026. Ceux qui savent lire entre les lignes auront compris ce que cela veut dire : une nouvelle loi Avia, encore plus liberticide, empêchant de s’exprimer ceux qui refusent, à Callac, Saint-Brevin et partout ailleurs, l’africanisation des villages et la transition démographique voulue par Macron, et l’islamisation de leur pays. Et bien sûr, outre les lois encore plus restrictives, toujours plus de subventions pour les parasites de l’antiracisme et les LGBT.

https://www.ecologie.gouv.fr/presentation-du-plan-national-lutte-contre-racisme-lantisemitisme-et-discriminations-liees-lorigine

C’est dans  ce contexte que se prépare, après la bataille de Callac, le combat de Saint-Brevin, contre l’implantation, dans une école, d’un centre d’accueil de demandeurs d’asile (Cada) de 120 migrants. La complicité entre le régime de Macron et la gauche politique et syndicale, sur ce dossier comme sur d’autres, est aveuglante, et ne trompera que ceux qui ne veulent pas voir. Les patriotes, qui devront rester unis, auront contre eux toute la mafia mondialiste et immigrationniste, la bande à Macron et du maire Morez, la clique immigrationniste politique, associative, syndicale, et les miliciens antifas, chargés des basses besognes.

Comme à Callac…

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