Pour sauver les campagnes françaises, « Coordination Partout Callac »

C’est une guerre totale qui est en train de se mettre en place. Deux camps totalement antagonistes se font face. D’un côté les immigrationnistes, et de l’autre côté les patriotes. Les premiers paraissent avoir tous les atouts pour gagner. Ils sont soutenus par l’appareil d’Etat, ses élus, ses juges, ses journalistes, ses partis de gauche, ses associations, ses syndicats, ses milices gauchistes. Ils ont donc plein d’argent.

En face, ils n’ont aucun soutien, si ce n’est celui de quelques trop rares élus courageux, de militants patriotes, souvent organisés à Reconquête, et de quelques citoyens qui osent afficher au grand jour leur opposition à l’implantation de migrants africains dans leur village. Les citoyens qui mènent ces combats, ceux qui les soutiennent, n’ont que des coups à prendre : menaces physiques, agressions, intimidations professionnelles, calomnies médiatiques, etc. Mais malgré cela, ils aiment trop leur ville, leur région, leur pays, le mode de vie à la Française, pour accepter sans combattre le Grand Remplacement qu’on veut leur imposer.

C’est le pot de terre contre le pot de fer. Et pourtant, à Callac, c’est le pot de terre qui a gagné, à la grande fureur des immigrationnistes, qui sont en train de réécrire l’Histoire, de victimiser les perdants, et de diaboliser les gagnants. Tout le cinéma autour de la feuille de chou gauchiste « Le Poher » l’atteste. Les pleurnicheries des élus de Callac le confirment. La multiplication des plaintes qui visent les principaux animateurs de Callac démontrent que les partisans de l’invasion migratoire, qui n’ont aucun souci d’argent, puisque ce sont nos impôts qui les arrosent, sont prêts à tout pour qu’il n’y ait pas un deuxième Callac en France.

C’est que les animateurs de la victoire de Callac, au lieu de se contenter tranquillement de cette bataille victorieuse, ont décidé de faire profiter les autres collectifs qui se créent dans d’autres villes de leur expérience. Bernard Germain, par ailleurs harcelé judiciairement, a écrit un livre intitulé « Callac, la mère de toutes les batailles », édité par Synthèse nationale. Et encore pire, les vainqueurs de Callac lancent la « Coordination Partout Callac », avec la mise en place d’un site de grande qualité, destiné à aider les Français victimes des conséquences de la politique du régime, sur l’immigration. Et cela marche !

https://www.partoutcallac.fr/

Ainsi, à Saint-Brévin, les militants du collectif « Pour la préservation de la Pierre Attelée », qui avait soutenu la bataille de Callac, se sont tournés vers ses principaux animateurs, pour bénéficier de l’expérience du combat mené dans les Côtes d’Armor, tout en adaptant leur action aux réalités locales.

A Beyssenac, où le préfet Etienne Desplanques entend rattraper le retard de la Corrèze pour les migrants et les éoliennes, un collectif s’est mis en place, et devant cette mobilisation, le maire, longtemps silencieux, et toute l’équipe municipale, s’opposent au Cada de 40 migrants africains que le pouvoir veut imposer à cette petite ville de Corrèze de 350 habitants.

A Bélâbre, dans l’Indre, petite ville rurale de 900 habitants, ce sont 300 manifestants qui se sont opposés au projet du maire, homme brutal qui n’hésite pas à menacer et intimider ses administrés, pour les obliger à accepter un Cada de 40 migrants africains, toujours sous la houlette de Viltais.

Les citoyens de ces petites villes les plus conscients ont compris, après la victoire de Callac, que si on se bat, on peut gagner, alors que si on reste résigné, on est certain de perdre, et de subir une invasion migratoire que la majorité des Français rejette, sauf les collabos, qui terrorisent, par leurs violences verbales et physiques, nos compatriotes qui veulent que la France reste la France.

Les animateurs du site « Callac partout », malgré les campagnes haineuses de la presse de gauche, et le harcèlement judiciaire qui les frappe, ont décidé de ne pas se contenter de la victoire de Callac, mais de mettre au service de tous les collectifs qui se montent l’expérience accumulée tout au long des semaines de combat.

Faites connaître partout cette initiative, et n’hésitez pas, quand vous êtes confrontés à la volonté de votre maire ou de votre préfet de vous imposer des populations dont vous ne voulez pas sur votre commune, à vous organiser, et à contacter les animateurs de la « Coordination Partout Callac ».

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*