
Tout le monde – et à juste titre – est indigné par la réforme des retraites proposée par Macron, et encore davantage par son passage en force, par le 49.3, ce jeudi, à l’Assemblée nationale.
Les députés de gauche, les syndicats et les associations – qui oublient de rappeler qu’ils ont tous ensemble appelé à voter pour le président sortant – font les effarouchés et crient au viol de la démocratie. Ils appellent bien sûr tous les Français à descendre dans la rue, en oubliant, là encore, de préciser qu’ils interdisent au Rassemblement national, qui combat depuis le début cette réforme, de s’associer à leurs cortèges, sous peine d’agressions physiques. À les entendre, le recours au 49.3 (que Manuel Valls utilisa six fois comme Premier ministre) serait un viol pour la démocratie. Et ils vont même jusqu’à réclamer un référendum.
On aurait presque envie de les croire. Sauf que ces grands démocrates sont les mêmes qui, dans nos campagnes, traitent de racistes et de fascistes des gens comme nous, et tous les paisibles citoyens qui refusent l’implantation de migrants, clandestins en passe de régularisation dans des Cada.
Nous les avons vus à l’œuvre à Callac, refusant le référendum que les Amis de Callac demandaient au maire, Jean-Yves Rolland, qui voulait imposer un gigantesque projet « Horizon » à sa population, sans la moindre consultation. Nous les avons vus, par la bouche de la stalinienne Laure-Line Inderbitzin, devant une pancarte raciste, nous insulter lors de rassemblements hostiles, non déclarés. Nous les avons vus essayer de nous charger, et agresser les gendarmes qui protégeaient notre rassemblement.
Nous les avons vus à l’œuvre à Saint-Brevin-les-Pins, rassemblant toute la racaille gauchiste pour menacer et agresser des paisibles manifestants, qui refusaient simplement qu’un Cada et 40 migrants côtoient l’école maternelle et l’école primaire du quartier de la Pierre Attelée. Nous les avons entendus qualifier de « démagogique » la demande de référendum, et s’y opposer de toutes leurs forces.
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Nous les avons vus à Bélâbre, où, avec la complicité du préfet Bredin, ils ont pourri le rassemblement des habitants de la ville, coupables aux yeux de ces citadins de refuser l’installation d’un Cada en plein milieu de la ville, quand un industriel se dit prêt à racheter plus cher les locaux promis à Viltaïs, et à créer vingt emplois. Nous avons vu leur totalitarisme quand ils ont sectionné le câble du micro des organisateurs du rassemblement, et couvert les discours que les intervenants, comme Pierre Gentillet, devaient prononcer.
Nous les avons vus à l’œuvre à Beyssenac, où ils n’ont même pas eu besoin de se déplacer, le préfet de Macron et Darmanin, Étienne Desplanques, ayant montré sa grande conception de la démocratie. Devant une salle de deux cents personnes hostiles à l’installation d’un Cada, à deux exceptions près, devant quatre maires hostiles et un seul favorable, il a expliqué que la décision d’implanter quarante clandestins dans ce petit village de Corrèze ne se discutait pas, et qu’elle se mettrait en place, que les gens soient d’accord ou pas.
Nous avons vu enfin ces nervis de gauche, dans la meilleure tradition des SA allemands ou des Chemises noires italiennes, bloquer l’entrée d’une réunion publique de Reconquête, sur la santé, à Hennebont, dans le Morbihan. Et il se trouve une candidate Nupes pour se vanter de ce coup d’éclat qui devrait lui valoir les tribunaux, si les juges ne protégeaient pas la racaille gauchiste.
C’est pourquoi, quand vous entendez les Nupes entonner La Marseillaise à l’Assemblée (eux qui crachent sur la France et rêvent de la détruire) et la gauche gémir au viol de la démocratie, à cause du 49.3, et réclamer un référendum, vous avez le droit de savourer ce bras-de-fer complice entre deux pans du mondialisme immigrationniste, mais vous avez aussi le droit de ne pas être pris pour des idiots par ces crapules et leur poser la question qui tue.
Quel est le plus grave ? Travailler deux ans de plus (ce qui est inacceptable, mais peut se modifier, Marine Le Pen a promis d’abroger cette loi si elle arrive au pouvoir) ou imposer le Grand Remplacement, irrémédiable, aux Français des grandes villes, puis des villes moyennes et à présent des campagnes, les mettant en danger et transformant radicalement le mode de vie quotidien qui était le leur, et l’identité de leur village et ses habitants ?
Poser la question, c’est y répondre, et les collabos de gauche, militants et préfets, sont les meilleurs alliés de Macron pour détruire notre pays.
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