
Les forces de l’ordre sont l’objet d’une offensive d’ampleur, relayée complaisamment par les médias, de la part de toute la gauche. Alors qu’elles sont systématiquement attaquées, dans les manifestations, par les milices gauchistes, à coups de mortier, de pavés, de cocktails Molotov, et qu’elles n’ont pas le droit de riposter, sous peine de sanction, on est, comme d’habitude, dans l’inversion accusatoire.
Nous ne sommes pas pour autant des inconditionnels des forces de l’ordre. Nous connaissons le zèle dont certains ont fait preuve lors de l’épisode des Gilets jaunes, et des centaines de milliers de Français ne sont pas prêts d’oublier les verbalisations abusives pendant le confinement. Des millions d’automobilistes ont des souvenirs douloureux de leur rencontre avec des policiers et des gendarmes, qui se comportent trop souvent en racketteurs au service du système.
Nous n’oublions pas non plus le deux poids deux mesures dont elles se rendent coupables, une grande tolérance pour les voyous des quartiers, et une tolérance zéro pour nos compatriotes. Dans un autre registre, nous constatons que les forces de l’ordre sont capables d’arrêter préventivement la mouvance identitaire, avant une manifestation, qu’elles sont capables de multiplier les arrestations des paisibles manifestants de LMPT, et qu’elles foutent une paix royale aux antifas et aux Black Blocs. Certains diront que cela vient de l’absence d’ordres, ce qui est probable.
Mais nous savons aussi examiner une situation politique. La France est prise en étau par la double violence, souvent complice, des gauchistes et des racailles islamisées. Se sachant protégés par les juges et les journalistes, ils agressent les forces de l’ordre pour tuer. Ils peuvent se permettre de les insulter, de les humilier, de les chasser, ce qui, dans nombre de pays, serait considéré comme une agression insupportable contre la légitimité de l’État, est devenu une routine en France.
La mouvance gauchiste vandalise systématiquement les centres-villes, à chaque manifestation. Elle est protégée par l’ensemble de la gauche, qui refuse de les dénoncer, et les défend quand un des leurs est, fort rarement, arrêté. Le système utilise ces milices contre ses seuls vrais adversaires, la mouvance patriote. Ses complices ferment les yeux quand des journalistes professionnels, comme Vincent Lapierre ou Jimmy Léopold, sont sauvagement agressés à dix contre un. Ils regardent ailleurs quand des librairies conservatrices, comme la Nouvelle Librairie à Paris, Les Arts enracinés au Puy, la Librairie des Deux cités à Nancy, sont régulièrement attaquées, taguées et vandalisées. Ils cautionnent, par leur silence, les agressions contre les meetings d’Éric Zemmour ou Marine Le Pen. Ils se réjouissent que cinquante militants de Reconquête aient été attaqués, lors de collages, à l’occasion de la dernière présidentielle.
Les milices gauchistes du régime, mais aussi toutes les composantes de la gauche, ne peuvent accepter que, dans les campagnes, des patriotes s’opposent à la venue de migrants dans les villages. Nous les avons vues à l’œuvre à Callac, à Saint-Brevin. Dans les deux premiers cas, c’est grâce au professionnalisme du préfet des Côtes-d’Armor et de la Loire-Atlantique que les gendarmes ont pu empêcher un bain de sang. En effet, à Callac, trois cents nervis d’extrême gauche, chauffés par les élus locaux, dont l’adjointe au maire Laure-Line Inderbitzin, ont voulu charger le rassemblement déclaré que tenaient « Les Amis de Callac » et leurs nombreux intervenants. Sans les gendarmes, il y aurait eu des blessés graves, et peut-être des morts.
Même chose à Saint-Brevin, où, le 25 février dernier, la mouvance antifa, soutenue par l’ensemble de la gauche, faisait régner la terreur dans la ville, agressant, comme à son habitude, des manifestants isolés. Il y eut quelques blessés dans les rangs patriotes, malgré la présence massive de gendarmes. Sans eux, cela aurait pu être dramatique.
À Bélâbre, le préfet a été complice du sabotage, le 25 février, d’un rassemblement organisé par les opposants au Cada de 40 personnes, imposé par le maire, Laurent Laroche. Il s’en est fallu de peu que cela ne finisse en affrontement.
Pourquoi les nazillons d’extrême gauche, soutenus par les Insoumis et les écolos, hurlent-ils « Et tout le monde déteste la police » ? Tout simplement parce que les forces de l’ordre sont le dernier rempart de l’État, pour les empêcher davantage de faire régner la terreur de la rue. Ils veulent renverser l’État pour imposer la loi du plus fort, celle de la rue, et s’en servir pour imposer leur dictature.
C’est parce que les gendarmes sont présents à Sainte-Soline que les milices gauchistes, qui les ont sauvagement agressés, ne peuvent atteindre la méga-bassine que ces demeurés veulent mettre à sec, dans une région comme le Marais poitevin. Et les masques tombent, Mélenchon est aux côtés des casseurs, et dénonce les forces de l’ordre, malgré le nombre important de blessés.
C’est parce que les gendarmes sont présents à Villeurbanne que les antifas, soutenus par l’ensemble de la gauche, ne peuvent interdire aux lecteurs d’Éric Zemmour de venir faire dédicacer leur livre. Sinon, les nazillons gauchistes massacreraient sans vergogne tous ceux qui ont le tort d’aimer la France et de ne pas vouloir de leur modèle de société.
Donc, comme le disait notre reporter Charles Demassieux, présent dans toutes les manifestations depuis l’époque des Gilets jaunes, entre les forces de l’ordre et les racailles gauchistes, complices de Macron, nous avons choisi notre camp, c’est celui de la France et donc de ses forces de l’ordre.
Les animateurs et contributeurs de Riposte Laïque seront partout, avec la Coordination Partout Callac, si les habitants nous sollicitent, pour les aider à mettre en échec les projets d’invasion migratoire que Macron et ses complices gauchistes veulent imposer aux populations rurales. Nous savons qu’à chaque rassemblement, nous devrons subir la présence, menaçante et agressive, des collabos de l’envahisseur, ceux qui nous rappellent les heures les plus sombres de notre Histoire, comme ils disent. Nous avons confiance dans les forces de l’ordre, mais nous comptons aussi sur la qualité de nos amis de la sécurité, qui savent, par leur savoir-faire, protéger les manifestants, et repousser, s’il le faut, les nazillons gauchistes.
Amis patriotes, si vous habitez le sud-ouest de la France, nous vous conseillons, ce samedi 1er avril, cette conférence, à l’invitation de Reconquête, que tiendront Pierre Cassen sur les leçons de Callac, et Alain de Peretti sur le halal. En venant nombreux à ces conférences, données par Reconquête ou d’autres organisations patriotes, dans toute la France, vous ferez preuve d’un acte de résistance, et vous montrerez que les patriotes ne sont pas de ceux qu’on fait taire.
Et le 29 avril, à 14 heures, un nouveau rassemblement se tiendra devant la mairie de Saint-Brevin, la ville où le maire, Yannick Morez, qui défend un Cada de 120 migrants près d’une école maternelle, a vu sa maison et ses deux voitures brûler.
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