Ils sont prêts au coup d’État pour éradiquer la Résistance patriotique

Décidément, nos combats contre l’invasion migratoire de nos campagnes font couler beaucoup d’encre. Après avoir été accusés, suite à la victoire de Callac, d’avoir intimidé et menacé les élus locaux et les journaleux d’une feuille de chou locale, après avoir subi plaintes et interrogatoires de police – quand les gauchistes cassaient tout et agressaient de paisibles militants patriotes en toute impunité – nous voilà accusés d’être les responsables de la démission du maire de Saint-Brevin-les-Pins, voire d’avoir allumé l’incendie qui a brûlé ses deux voitures et une partie de sa maison.

Bien évidemment, les journalistes et politiciens qui profèrent ces calomnies n’en croient pas un mot. Pas davantage que Mélenchon et les associations dites antiracistes ne croient à un péril fasciste, voire nazi en France. Mais ils ont décidé de harceler, dans un pas de deux complice, le gouvernement, pour que celui-ci interdise à la mouvance patriote la liberté d’exister et de défendre ses idées que la démocratie autorise. Et avec Macron, Darmanin et Dupond-Moretti, cela marche à tous les coups.

Pendant des années, sous Chirac, Mélenchon et Charlie Hebdo ont demandé la dissolution du Front national. Là, c’était trop gros, cela n’a pas marché.

Mais il a suffi qu’Esteban, agressé par derrière donne un coup de poing au gringalet Clément Méric, qui en est mort, pour que Manuel Valls dissolve sans vergogne quatre groupes patriotes, pourtant totalement étrangers à l’affaire et, en toute illégalité, ferme « Le Local », bar parisien identitaire tenu par Serge Ayoub.

Il a suffi que la Licra et les Insoumis demandent des années durant la dissolution de Génération Identitaire, qui pourtant n’a jamais agressé personne, ni vandalisé le moindre centre-ville, pour qu’à l’arrivée, Darmanin finisse par obtempérer. Ce fut le même sort qui fut réservé à l’association angevine Alvarium et aux Zouaves.

Mais cela ne suffisait pas aux totalitaristes mondialistes. Ils ont donc mené une action politico-médiatique de grande envergure, protestant contre le défilé organisé tous les ans pour honorer la mémoire d’un jeune militant nationaliste, décédé à l’âge de 22 ans, en 1994. Nous avons eu droit, sous l’impulsion du torchon Mediapart de Edwy Plenel, à une campagne fanatique, expliquant que les SS étaient de retour de Paris. Aucune violence, aucun débordement, mais la machine était partie. Le cinéma continua à l’Assemblée, avec la Nupes interpellant Darmanin, accusé de complicité avec les fascistes, bien évidemment. Et cette serpillière de la gauche annonça donc, en toute illégalité, que ses préfets se verraient désormais sommés d’interdire toute manifestation venue de l’ultra-droite, voire de l’extrême droite. Ce sera aux juges de décider, à l’issue d’un référé, si l’interdiction du préfet était bien légale. Mais en attendant, frais de justice nécessaires, et doutes importants sur le résultat, donc démobilisation de beaucoup de militants.

Nous avons vu ce samedi les résultats des ordres de Darmanin. En toute illégalité, le rassemblement des militaires, souvent retraités, de « Place d’Armes » a été interdite, avec des explications invraisemblables du préfet Nunez, moins de 24 heures avant son déroulement, empêchant ainsi tout référé devant des juges. Par contre, l’Action française a pu organiser son colloque et son rassemblement pour honorer la mémoire de Jeanne d’Arc.

Nous assistons donc, en direct, autour de l’affaire de Saint-Brevin et de la démission du maire, mais aussi à l’interdiction des seules manifestations patriotiques, classées à l’ultra-droite, à un gigantesque coup d’État, entendant interdire d’expression et de manifestation quiconque oserait se lever contre la transition démographique de nos campagnes imposée par Macron avec la complicité, souvent violente, de la gauche et de ses milices.

Cette offensive est complétée par l’action des vopos de l’antiracisme, dont les rares militants, payés par nos impôts, traquent les écrits de la mouvance patriote, et dénoncent à la Kommandatur, comme il y a 80 ans, les auteurs politiquement incorrects, avec bien sûr les poursuites judiciaires qui suivent, et les lourdes amendes voire les peines de prison qui les accompagnent.

Quoi qu’ils fassent, ils ne nous feront jamais taire. Une résistance patriotique existe, contre la tyrannie des mondialistes. Chacun amène quelque chose au combat, que cela soit les partis, les associations, les sites, les militants et les internautes. Toute petite action menée, y compris la plus infime, est utile. Il suffit d’un rien pour que tout bascule très vite.

Parmi les actions à mener, comme nos amis ont su déstabiliser les équipes municipales de Callac et de Saint-Brevin, il faudra déstabiliser les personnes qui continuent à voter à gauche et qui, encore pire, militent pour cette gauche totalitaire qui rogne nos libertés toujours plus, tous les jours. Nous vous recommandons un outil exceptionnel pour cela, le dernier livre de Pierre Cassen et Bernard Germain, très actifs dans le  combat mené contre la transition démographique. Nos deux amis ont ceci de particulier qu’ils viennent de la gauche, qu’ils en connaissent parfaitement les rouages et les méthodes mais qu’ils les ont mis au service de la France, tout en expliquant les raisons pour lesquelles ils sont passés du camp du « bien » au camp du « mal ».

N’hésitez pas à l’acheter et à l’offrir à un ami ou un membre de votre famille qui vote encore à gauche, vous ferez œuvre de salubrité publique.

22 euros le livre, frais de port offerts
2 livres, 35 euros, frais de port offerts
3 livres, 40 euros, frais de port offerts


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Chèques à l’ordre de Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors

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