
Le député de la LFI Antoine Léaument, avec sa tête d’étudiant à vie immature et pas fini, a donc décidé de rendre un hommage appuyé à Robespierre, à Arras. Et il en a fait des tartines pour saluer celui qui incarne la Terreur révolutionnaire, et qui fut le modèle de nombre de révolutions depuis, dont la Révolution d’octobre en Russie.
Il se trouve, et c’est la richesse du débat historique, que tout le monde, en France, ne partage pas les discours élogieux sur le camarade Maximilien, et qu’il existe encore des revues qui acceptent de publier ces thèses mal-pensantes.
Notre conception est que tout débat historique est légitime, et qu’il n’appartient pas aux juges de décider ce qui est autorisé ou illégal, mais que ce débat appartient aux historiens, et qu’il n’y a aucun sujet tabou. Or, pour que cela soit possible, il faut abolir les lois liberticides, qu’elles s’appellent Pleven, Gayssot ou Taubira.
C’est dans ce contexte qu’un débat sur la réalité de la Révolution française doit se tenir, en France, et qu’un film comme « Vaincre ou mourir » est nécessaire pour permettre de mieux appréhender l’histoire de notre pays, avec ses nombreuses périodes glorieuses, et ses parts d’ombre. En ce sens, cet échange entre Philippe Landeux, défenseur de Robespierre, et Reynald Secher, défenseur de la Vendée, est exemplaire.
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Cette conception du débat est impossible avec la vision totalitaire du monde des Insoumis aujourd’hui soutenus par l’ensemble de la gauche et de l’extrême gauche. Rappelons qu’un Corbière voulait faire interdire les livres de Lorant Deutsch, s’attirant une vive réplique, avec des références historiques, du romancier et historien Alain Dubos.
Nous n’affirmerons pas que Robespierre voulait tuer la France, mais nous accusons Mélenchon et les Insoumis de se comporter en réels traîtres à leur pays, et nous le prouvons en quelques exemples passés, et surtout présents.
Nous voulons bien accorder les circonstances atténuantes à celui que nombre de contributeurs de Riposte Laïque appellent Rachid Mélenchon, sur son vote criminel pour le « oui » au traité de Maastricht, il y a plus de trente ans, en 1992.
Nous avons davantage de mal à lui pardonner ses demandes récurrentes d’interdiction du Front national, dès les années 1995, avec ses copains de Charlie Hebdo. Dans la même logique, il demandait la dissolutoin de Génération Identitaire, qu’il a fini par obtenir grâce à Darmanin. Quand on fait une telle demande en démocratie, on se comporte, à l’instar d’un Robespierre, comme un assassin quand on est au pouvoir, et on fait exécuter ses ennemis. Il est évident que si les Insoumis arrivaient à la tête du pays, ils feraient exécuter toute la dissidence, comme les adeptes de leur doctrine ont toujours fait historiquement, dans les pays communistes.
Sa participation, ainsi que celle de toute la gauche, à la manifestation des islamistes, le 10 novembre 2019, est par contre un acte incontestable de collaboration avec l’ennemi mahométan, qui mène une guerre impitoyable à la France depuis que des traîtres, dont Mélenchon lui-même, lui ont permis d’implanter des combattants dans notre pays depuis quarante ans.
Nous pourrions compléter par de nombreux exemples les différentes trahisons de celui que Jacques Chassaing appelait le fonctionnaire de la Révolution, depuis ses débuts en politique, mais là n’est plus l’essentiel.
Si on regarde les événements du dernier mois, le soutien inconditionnel de Mélenchon et de ses troupes aux émeutiers, majoritairement musulmans, qui ont détruit des villes entières, le doute n’est plus permis.
Qui a utilisé la mort d’une racaille, Nahel Merzouk, pour souffler sur les braises et justifier les pillages, les incendies d’écoles, de mairies, de gendarmeries et de commissariats ?
Qui a multiplié les propos pousse-au-crime contre la police, envoyant même, en pleines émeutes, des députés comme Léaument ou Portes pour pourrir la vie des policiers et exiger de vérifier si, dans les commissariats, les émeutiers arrêtés étaient traités correctement ?
Qui a déposé plainte contre Robert Ménard, qui a eu le courage de refuser de marier un clandestin algérien en procédure d’expulsion ?
Qui a déposé plainte contre les fusiliers marins de Lorient, qui ont eu le réflexe patriotique d’aider les forces de l’ordre à arrêter des voyous incendiaires ?
Qui a déposé un recours contre la loi (bien imparfait) proposé par le gouvernement pour protéger les propriétaires contre les squatteurs ?
Qui, comme dans les Vosges, attise la haine et encourage ses troupes à passer à l’action violente contre les patriotes, qualifiés de manière manipulatrice d’extrême droite ?
Qui multiplie les discours de surenchère liberticides au nom de l’imposture climatique ?
Qui se comporte comme un milicien du Nouvel Ordre Mondial, en voulant éradiquer physiquement la résistance patriotique ?
Si Mélenchon et ses complices étaient un jour arrêtés, il faudrait des mois de procès pour énoncer l’ensemble des trahisons dont ils se sont rendus coupables, avant de leur délivrer le châtiment qu’ils méritent : la peine de mort pour haute trahison, tel que le définissait Georges Clemenceau, en période de guerre.
À moins que pour gagner du temps, ses juges ne décident d’appliquer les mêmes méthodes que celles de Maximilien Robespierre – qui se sont retournées contre lui – ou celles appliquées contre le dictateur Ceaucescu en Roumanie…
Mis à part les islamistes et les gauchistes dégénérés, cela ne ferait pas pleurer grand monde…
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