Pour un coup d’essai, ce fut un coup de maître de la nouvelle équipe du JDD, sous la direction de Geoffroy Lejeune. Alors qu’ils n’avaient annoncé la reprise de l’hebdo, en grève depuis bientôt deux mois, que le 13 août, ils ont opéré un effet de surprise, osant titrer sur l’assassinat d’Enzo et d’autres jeunes Français, massacrés trop souvent par des immigrés africains, dans l’indifférence de médias de propagande beaucoup plus prompts à pleurer sur la racaille Nahel Merzouk.
Bien sûr, les médias de grands chemins hurlent à la récupération indécente, et chipotent, il n’empêche que l’angle d’attaque choisi par Geoffroy Lejeune et la nouvelle équipe fait mouche, et démasque par sa pertinence le négationnisme des médias de grands chemins sur la multiplication des francocides dans notre pays.
Retour sur deux mois qui voulurent ébranler la presse, et finirent par un fiasco mémorable de la part de journaleux qui roulaient Macron sans vergogne, et se prenaient pour les chevaliers blancs de la profession. Nous avons assisté à l’hystérie du petit monde politico-médiatique, qui possède 98 % des médias. Ces gens-là, au nom du pluralisme et de la liberté de la presse, ont osé contester à Vincent Bolloré et à Arnaud Lagardère le droit de désigner un rédacteur en chef qui ne correspondait pas au politiquement correct.
Nous les avons vus à l’œuvre, dans des pratiques dignes des pays totalitaires. Ils ont prétendu, toute honte bue, défendre la liberté de la presse et le pluralisme, alors qu’ils ne supportaient pas, tout simplement, qu’outre les réseaux sociaux et quelques trop rares médias alternatifs, CNews, C8, Europe1, un hebdomadaire, le JDD, offre une vision différente de l’information. Ce sont des nostalgiques de l’époque de la Pravda et de tous les pays totalitaires, où la presse n’a qu’un seul rôle : relayer la propagande du régime.
Ils ont pleuré, pleurniché, se sont victimisés, et ont nazifié sans vergogne Geoffroy Lejeune et tous ceux qui le soutenaient. Ils envisagent de légiférer pour que cela soient les journalistes eux-mêmes qui désignent leur rédacteur en chef. Ils menacent, par l’Arcom, de ne pas renouveler la fréquence de CNews, dans un an. Ils se félicitent que les cerbères de Macron dans l’audiovisuel criblent Bolloré et ses médias d’amendes lourdes scandaleuses (on en est à 4 millions d’euros).
Ils veulent, ni plus ni moins, interdire de plateaux télévisés quiconque osera vouloir débattre, et seulement débattre, de sujets comme l’immigration, l’islam, le climat, le covid, l’Union européenne, les frontières, le wokisme et autres sujets de société qui ne correspondent pas à la propagande du politiquement correct et des mondialistes.
Quand le commissaire européen Thierry Breton menace les réseaux sociaux, et notamment le CNews d’Elon Musk, de leur interdire d’émettre en Europe, aucun média de propagande ne proteste, tout simplement parce que l’Union européenne, avec la complicité de Macron, exprime ce que souhaitent les journaleux du régime : l’éradication de la presse libre, celle qui ose défendre une autre vision du monde que celle des milliardaires mondialistes.
La fin du feuilleton n’est pas à l’honneur des imposteurs qui se disent journalistes progressistes, qui ont bénéficié de chèques exorbitants de Bolloré pour quitter le navire du JDD. D’autres sont restés, avec l’intention bien affichée de pourrir de l’intérieur cet hebdomadaire.
Il est des moments où les patriotes doivent s’engager, dans le combat pour la défense de nos valeurs. Éric Zemmour, en deux années, a fait passer les audiences de CNews, de 19 heures à 20 heures, de 80 000 téléspectateurs à 1 million. Devant l’enjeu de la bataille médiatique et politique qui se prépare, nous ne pouvons qu’encourager les lecteurs de Riposte Laïque d’abord à faire connaître notre site à un maximum de personnes, mais aussi à créer les conditions pour que l’opération JDD, avec Geoffroy Lejeune à sa tête, soit une réussite digne de CNews.
Donc, achetons tous massivement ce premier numéro du Journal du Dimanche, et, s’il est à la hauteur de nos attentes, continuons ensuite à en assurer le succès, pour faire un superbe pied de nez aux maîtres-censeurs journaleux collabos et politicards mondialistes.
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