
Cela sera donc demain la rentrée des classes, avec comme ministre de l’Éducation nationale (on préférerait Instruction publique) Gabriel Attal.
Tout comme Blanquer avait la chance de passer après l’incompétente marocaine Najat Vallaud-Belkacem, Attal arrive derrière le racialiste Pap Ndiaye, qui a laissé passivement le wokisme et l’islam pourrir nos écoles.
Résumant toute la politique du « en même temps » de Macron, il va donc nous faire du Blanquer pendant un certain temps, histoire d’occuper le terrain et de faire du vent. Certes, on ne peut que se réjouir de ses paroles fortes sur l’abaya, mais quand on a vu sa dérobade devant l’offensive gauchiste, sur une vidéo rendant hommage à Martin Luther King, avec des élèves seulement blancs (vidéo retirée), on ne peut que s’interroger sur la réalité de la détermination du nouveau ministre. Reste qu’on souhaite qu’il réussisse et que, pour une fois, force reste à la loi et à l’État.
Remarquons, sur ce dossier, la large alliance contre la France laïque, qui va de l’ensemble de toute la gauche, soumise aux Insoumis – à de très rares exceptions – aux mondialistes milliardaires comme Soros, qui finance les organisations islamistes qui soutiennent le combat des abayas, jusqu’à l’Onu et nombre de structures supra-nationales, qui condamnent les dispositions, pourtant timides, prises par la France.
L’importance de la rentrée scolaire ne doit pas nous faire oublier le combat roi de cette année, contre l’invasion de nos campagnes par les migrants que Paris ne veut plus voir durant la Coupe du monde de rugby et surtout les Jeux Olympiques. Et là encore, comme pour l’abaya, la guerre menée contre la France fait rage, avec aux manettes la clique de Macron, soutenue par la gauche collaborationniste et immigrationniste. C’est en Bretagne que la bataille promet d’être chaude, après la victoire de Callac et le combat de Saint-Brevin, qui ne peut que se radicaliser.
À côté de Callac, un grotesque fest-noz, soutenue par la feuille de chou locale bien connue de nos lecteurs, Le Poher, a été mise sur pied pour soutenir le vétérinaire en retraite, bien connu par la population pour ses frasques quand il sort du bistro (ce qui lui arrive très souvent). Le malheureux va passer au tribunal pour avoir insulté des gendarmes, les ayant sans doute pris, dans une crise de delirium tremens, pour des militants de Reconquête !
https://ripostelaique.com/guy-joncour-la-legende-a-migrants-de-callac-au-tribunal-hic.html
C’est le prétexte, près de Callac, pour organiser cette fête qui prétend lutter pour l’accueil de l’autre, et surtout contre le fascisme et le racisme qu’incarneraient, dans l’esprit embrumé de vapeurs d’alcool du personnage, ceux qui veulent que leur ville reste leur ville, leur région leur région et leur pays leur pays.
Soutenant ces initiatives, un autre spécimen, dans un autre registre, un vulgaire secrétaire d’État, Hervé Berville, sillonne les Côtes-d’Armor, lui aussi, pour mobiliser les élus locaux contre l’extrême droite, rien de moins.
Proche de Richard Ferrand, c’est un ancien tutsi, orphelin, qui a été recueilli et élevé par une famille bretonne. Il a fait apparemment de brillantes études, a bien profité du tissu associatif pour gagner sa vie, s’est retrouvé à LREM, a été élu député et a fini secrétaire d’État à la Mer. Bien qu’il soit de couleur, on ne voit pas quelles sont ses compétences pour le poste si ce n’est que, sous Macron, il faut un peu de diversité dans un gouvernement. Et voilà donc ce secrétaire d’État à la Mer qui va faire la leçon à des élus par ailleurs complaisants, comme le maire de Corlay, Olivier Allain, fier d’avoir installé cinq familles de clandestins dans sa commune – en ayant oublié d’en parler à ses administrés – pour leur expliquer leur devoir d’accueil et la nécessité de lutter contre l’extrême droite !
Troisième dossier, le plus chaud, Saint-Brevin. À quelques semaines de l’ouverture du Cada, avec ses 110 clandestins situés près de l’école de la Pierre Attelée, la gauche locale et nationale vient fanfaronner et provoquer les habitants du quartier et de la ville en organisant un colloque « Saint-Brevin terre d’accueil », toute la journée du 23 septembre.
Bien évidemment, pour les militants du « collectif de Préservation de la Pierre Attelée », cette grossière provocation ne peut rester sans réponse, et ils annoncent une riposte qui paraît, à lire leur communiqué, déterminée.
Allons-nous voir, à Saint-Brevin, le 23 septembre, le monde à l’envers ? Allons-nous voir des centaines de patriotes, toutes tendances confondues, converger vers la salle de l’Étoile de Jade, gentiment mise à la disposition des organisateurs par le nouveau maire, Dorothée Pacaud ? Celle-ci parait encore pire, dans sa détermination à imposer le Cada à sa population, que son prédécesseur Yannick Morez, qui devait entamer un tour du monde en bateau qui, paraît-il, s’est terminé à La Baule, où selon les rumeurs locales, il ouvrirait un nouveau cabinet médical.
Tous ces exemples confirment la volonté du pouvoir, soutenu par les milices de la gauche collaborationniste et les médias vendus au régime, d’imposer par tous les moyens l’invasion migratoire à des populations qui, à plus de 80 %, réclament un référendum sur ce sujet.
Nous tiendrons nos lecteurs informés, bien évidemment, de l’évolution de ces deux batailles, contre l’abaya à l’école, et les clandestins dans nos campagnes, qui ne sont possibles que parce que la France n’est plus gouvernée, et qu’elle est dirigée par des traîtres qui ont décidé de la tuer et de remplacer les Français par des Africains.
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