Depuis quatre-vingts ans, les pays occidentaux sont marqués par l’histoire de l’Holocauste, de la barbarie nazie et de l’horreur absolue qui tourne autour de ces événements dramatiques. Et comme ce sont toujours les vainqueurs qui écrivent l’Histoire, on raconte aux générations qui ont suivi que les nazis étaient d’extrême droite, qu’en France, les collaborateurs étaient tous eux aussi d’extrême droite, et que la gauche a combattu la bête immonde et était massivement dans la Résistance.
Gare à ceux qui osent remettre en cause la moindre virgule de cette histoire, les lois liberticides veillent, et même un Éric Zemmour, pourtant de confession juive, peut se retrouver au tribunal pour négation de crime contre l’humanité. Il est d’autre part insulté et traité de menteur pour donner une version de l’Histoire, notamment sous Pétain, un peu moins manichéenne. Donc, dans l’imaginaire, le FN, devenu le RN, et Reconquête sont des nostalgiques d’Adolf Hitler, c’est pour cela que la propagande les classe – comme nous d’ailleurs – à l’extrême droite.
Mais depuis le 7 octobre, date du pogrom du Hamas contre les Juifs, les masques tombent, et notamment en France. Tout le monde a pu voir qu’Éric Zemmour est le seul homme politique à être allé sur place apporter son soutien aux Israéliens et tenir un meeting émouvant devant les Français partis vivre en Israël parce que ne se sentant plus en sécurité en France. Chacun a pu constater que Marine Le Pen, longtemps nazifiée, s’est rangée – même si elle ne parle pas de guerre de civilisation et évoque la fumeuse solution des deux États – du côté de l’état hébreu.
Mais surtout tout le monde a pu voir que Jean-Luc Mélenchon et toute la clique LFI se sont rangés comme un seul homme, en ordre de bataille, derrière la cause palestinienne, en refusant de condamner clairement les actes du Hamas et de qualifier cette organisation de « terroriste ». Tout le monde a compris que ce soutien fait suite à celui des émeutes de juin, à celui de l’abaya à l’école, aux campagnes en faveur des migrants, souvent musulmans, et que, sans vergogne, les Insoumis se sont rangés derrière les islamo-nazis, qui ne cachent même plus leur haine des Juifs et leur volonté d’éradiquer Israël.
La haine du Juif, qui fait partie, comme l’explique depuis des années notre ami Hamdane Ammar, de l’ADN des musulmans, éclate au grand jour pour ceux qui ne voulaient pas voir les choses. Il suffit d’écouter cette diatribe, appelant à la résistance islamique partout, entendue ce samedi à Paris et rapportée par notre ami Charles Demassieux, pour ne plus avoir la moindre illusion.
On sait que Mein Kampf est le livre le plus lu dans les pays arabes. On ne peut ignorer que les chefs musulmans appellent les disciples d’Allah à finir le travail d’Hitler. On doit savoir que c’est à l’initiative du mufti de Jérusalem, Al Husseini, oncle de Yasser Arafat, qu’Hitler a décidé de mettre en place la solution finale. La haine des Juifs éclate dans cette vidéo, montrant le lynchage de deux soldats à Ramallah, en 2000.
Les choses sont claires, et les Insoumis ont beau, sur les réseaux sociaux, imputer systématiquement à l’extrême droite les exactions anti-juives que leurs électeurs commettent, plus grand-monde n’est dupe, les choses sont très claires. Quant au reste de la gauche, alors qu’ils sont d’accord sur le fond avec le discours de LFI, ils sont trop lâches pour l’assumer et disent tout et son contraire, à l’image du pathétique socialaud Olivier Faure.
Les islamistes se préparent à la guerre et rêvent de commettre en France les mêmes exactions que celles de leurs coreligionnaires en Israël. C’est ce qu’ont connu les Français en Algérie, même si là encore l’Histoire officielle le cache. Les disciples d’Allah ont des troupes prêtes à cela, qui en rêvent. Ils n’attendent qu’un ordre et savent qu’ils pourront compter sur le soutien des collabos de LFI pour les soutenir dans leur propagande.
Les meilleurs défenseurs de la France, dans ce contexte, seront ceux que les médias et les politicards appellent « l’extrême droite » pour les diaboliser, alors qu’ils sont patriotes et rien de plus.
Ce sont donc ceux que les propagandistes mondialistes appellent les « fachos » qui vont défendre la France, les Juifs et les chrétiens contre les barbares islamo-nazis, soutenus par ceux qui se disent anti-fascistes et prétendent combattre l’idéologie nazie depuis quatre-vingts ans.
Les masques tombent. Les Français vont-ils enfin ouvrir les yeux, comprendre que les pires nazis, en France, sont les islamistes et la gauche, Macron y compris, et en tirer enfin les conséquences électorales que cela mérite ?
On a envie d’y croire…
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