Nous sommes dans un pays où, profitant de la barbarie nazie à l’encontre de la communauté juive, la gauche, depuis une cinquantaine d’années, a décidé de nazifier le débat politique. Peu importent les connivences de nombre de ses militants avec l’occupant nazi durant la dernière guerre mondiale, elle a décidé de discréditer la mouvance patriote en l’amalgamant aux nostalgiques d’Adolf Hitler. Et comme ceux qui s’auto-proclament le camp du bien détiennent l’ensemble des grands médias, on a pu, en toute impunité, amalgamer Jean-Marie Le Pen et les militants du Front national à des nazis, sans que la moindre possibilité de dénoncer ce mensonge d’État ne leur soit donnée. Le sommet de cette manipulation a été l’affaire de Carpentras, montée et instrumentalisée par le sinistre Pierre Joxe.
Nous avons revu, ces dernières semaines, l’ensemble de la gauche, telle une meute, nazifier à nouveau le Rassemblement national, avec les prétextes les plus malhonnêtes, parce qu’ils entendaient, comme lors de la marche « Je suis Charlie », interdire à ce parti de participer à une mobilisation nationale contre la barbarie islamiste. Cette fois, il s’agissait, bien sûr, des crimes de masse du Hamas contre des Israéliens, près de la bande de Gaza, le 7 octobre dernier.
La gauche était en effet en panique à l’idée que la stratégie du cordon sanitaire, montée par Mitterrand et SOS Racisme dans les années 1984, pour diviser la droite, puisse voler en éclats à l’occasion des rassemblements contre l’antisémitisme qui se sont déroulés dans toute la France. D’où l’hystérie qui a redoublé de violence contre un homme de 95 ans, Jean-Marie Le Pen, et le mouvement qu’il a créé, même s’il en a été exclu par la suite.
Lors d’une des dernières coraneries du jour, nos amis Sobieski et Moulins ont qualifié le LFI Aymeric Caron de « nazi » parce qu’il contestait la réalité des crimes du 7 octobre et accusait l’armée israélienne de les instrumentaliser. Ils écrivaient ceci, pour justifier le propos : Caron défend les Palestiniens, qui soutiennent le Hamas, qui est un parti terroriste islamiste, ce que tu nies, espèce de négationniste, parti islamiste qui a des liens historiques avec Al Husseini, le mufti de Jérusalem, qui a fourni des dizaines de milliers de SS à Hitler et a convaincu Himmler d’accélérer la solution finale. Et puis, argument fatal, Hitler était végétarien, comme toi ! Donc, Aymeric Caron, tu es un nazi !
Tu as vu, on vient de pratiquer avec toi l’amalgame, méthode que tes potes et toi utilisez depuis des décennies pour discréditer les patriotes. Eh bien, cela te revient en pleine gueule, c’est la règle du boomerang !
Nous aurions pu ajouter ce lien.
https://www.davidmotadel.com/wp-content/uploads/2016/08/OtkhmezuriNo27.pdf
Au-delà de la virulence de la polémique contre une crapule gauchiste, il est intéressant de regarder ce que serait une société dirigée par les Insoumis : tout simplement la mise en place d’un nouvel ordre mondial, mélange de nazisme et de stalinisme, qui utiliserait les méthodes les plus totalitaires pour éradiquer les vrais rebelles, ceux qui défendent les libertés publiques.
Rappelons qu’ils ont cautionné, ces dernières semaines, l’abaya dans les écoles, et les émeutiers qui ont pillé la France suite à la mort de la racaille Nahel Merzouk.
N’oublions pas qu’ils ont soutenu le gang Traoré dans sa bataille contre l’État français.
Rappelons-nous que Mélenchon mettait un genou à terre devant les racistes noirs appelés « Black Lives Matter ».
Ils ont également soufflé sur les braises pour radicaliser les jeunes des quartiers islamisés contre la police, mais aussi contre les Français.
Sachons que les nervis antifas et les Black Blocks, ainsi que des officines comme « La Jeune Garde », qui rappellent beaucoup les SA des années 1930, leur sont dévoués corps et âmes et bénéficient du soutien matériel permis par le nombre d’élus de ce mouvement.
Ils se sont ainsi constitué une milice de la diversité et d’islamo-gauchistes, puissamment armée, capable de faire face aux forces de l’ordre qui se voient réduites à l’impuissance par le régime de Macron, soucieux de préserver des alliances avec les gauchistes mondialistes.
Que deviendrait la France si les Insoumis arrivaient au pouvoir, par les urnes, ou plus probablement par la rue ?
Ils utiliseraient les milices musulmanes, que leur complice Taha Bouhafs appelle de ses vœux, pour multiplier les pogroms contre les Juifs mais aussi contre les Français coupables de vouloir défendre la laïcité et leur mode de vie. Il y aurait, comme dans les pires fictions de Jean Raspail ou de Laurent Obertone, des milliers de crimes, de viols, de pillages, d’incendies, dans les pires traditions des barbares d’Allah et des racailles des cités.
Les églises, mais aussi les synagogues, ainsi que tous nos monuments historiques seraient livrés à la vindicte musulmane qui, avec la complicité de la clique Mélenchon, achèverait de détruire tout ce qui incarne une France qu’ils veulent voir disparaître. Comme l’ont fait les talibans en Afghanistan ou les Gardes rouges en Chine.
Les femmes vêtues à l’européenne seraient remises dans le droit chemin, et les homosexuels seraient traités comme ils le sont dans tous les pays musulmans, malgré le soutien des LGBT à la cause palestinienne.
Et bien sûr, cela serait une accélération de la submersion migratoire que connaît la France depuis quarante ans, avec la complicité de toute la gauche.
Nous aurions partout un mélange de barbarie musulmane digne des pires exactions nazies, pour mettre en place un régime totalitaire au service du Nouvel Ordre Mondial, où tous les résistants patriotes seraient traités comme les régime d’Adolf Hitler ou de Joseph Staline agissaient contre les dissidents.
Et bien évidemment, pour cela, il faudrait lâcher la bride à l’antisémitisme de gauche, qui a des racines historiques que le système cherche à dissimuler…
Ajoutez à cela l’antisémitisme qui fait partie de l’ADN de la culture musulmane, comme le disait l’historien Georges Bensoussan, et que Youssouf al Qaradawi ne dissimulait pas, en disant que le devoir des musulmans était de finir le travail d’Adolf Hitler, et vous auriez à la tête du pays un régime totalitaire de type nazi.
Les Insoumis, comme leurs prédécesseurs de gauche iranienne, dans les années 1980, ont choisi la barbarie islamiste contre les valeurs qui ont façonné historiquement notre pays. Ils se sont rangés dans le camp de l’ennemi, ils sont devenus de fait les complices des assassins islamistes, ceux qui, depuis quatorze siècles, n’ont qu’un objectif, imposer la charia à l’ensemble de l’humanité, quitte à tuer pour cela, dans des attentats comme à Paris ou des tueries de masse comme en Israël, tous ceux qu’ils appellent les infidèles.
Par leurs discours, les commissaires politiques Insoumis, successeurs des Hitler, Himmler, Goering ou Goebbels, alimentent la haine des Juifs et des Français, et encouragent les racailles islamisées à la violence contre le peuple de France. Ils ne peuvent pas ignorer que Mein Kampf est le livre le plus lu dans les pays arabes, que nombre de dignitaires nazis ont été recyclés par des pays musulmans, et que la volonté d’exterminer les Juifs et d’éradiquer Israël est plus présente que jamais dans les rues arabes et dans celles des Territoires perdus de la France.
Ce sont les nouveaux nazis qui représentent une menace mortelle pour notre pays, avec la complicité de Macron et de son régime, qui s’en servent pour terroriser le peuple français. Il faut les qualifier ainsi, sans la moindre hésitation, pour faire tomber les masques.
Ces petits nazillons, et cela sera la leçon de l’histoire, n’ont par ailleurs aucune chance de survie. Si les islamistes gagnent, ils les égorgeront, quand ils n’auront plus besoin d’eux, car ils méprisent les traîtres. Si les patriotes gagnent, ils seront fusillés, comme l’ont toujours été les collabos, tout au long de l’histoire de France.
Dans les deux cas, Mélenchon les emmène à une mort certaine…
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